L'improbable duo que forme Colomba et
Dante, fonctionnent très bien...On a hâte de poursuivre la lecture pour savoir qui se cache derrière le Père, personnage abject, et ô combien cruel et inhumain, je le reconnais bien volontiers.
Cependant, les descriptions d'humeur et de toc de
Dante (cigarettes ,café ) sont trop répétitives et caricaturales, et prennent des pages et des pages ; on a vite compris que
Dante a été cassé par sa captivité, tout comme Colomba dans sa fonction...
Une centaine de pages de trop pour ma part.
La fin est plausible , je le reconnais, et les derniers mots laissent inaugurer probablement une suite...
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