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Critique de bilodoh
Des croix sur le bord de la route en hommage aux victimes d'accident, rien de méchant, mais quand de nouvelles croix sont posées annonçant de futurs décès, il y a urgence d'en trouver l'auteur avant qu'il frappe à nouveau.
On croit connaitre le criminel, c'est sûrement lui, c'était écrit sur le web. À force de répéter quelque chose, elle devient vraie, non?
Bienvenue au coeur des réseaux sociaux, avec leurs quartiers mal famés, repaires des trolls et du harcèlement par Internet. Sujet toujours d'actualité? Il y a quelque temps, une jeune fille s'est suicidée, non? Et là, une université a vu son système de communication envahi d'images haineuses? Et pas loin de chez vous, il y a peut-être un gamin qui souffre…
Il y a aussi des mondes virtuels où évoluent les « gamers » avec leurs avatars personnels et leurs sociétés organisées où on se bat à l'épée ou à la mitraillette, mais où on peut s'acheter des vies supplémentaires...
Et que dire des blogueurs qui vivent des revenus publicitaires générés par les clics, une compétition féroce?...
Le décor est planté pour un polar efficace, avec de courts chapitres qui fonctionnent un peu comme une série télé, se terminant sur une situation dramatique, pour réserver une surprise à l'ouverture du suivant, et ce n'est évidemment pas toujours ce à quoi on s'attendait.
Un portrait bien noir de la société techno. Mais, malgré les dérives de la communication du web-poubelle, il existe aussi sur le net des havres de paix (comme Babelio) qui donnent lieu à des échanges civilisés, même si les opinions sont parfois diamétralement opposées. Merci à modérateurs!
On croit connaitre le criminel, c'est sûrement lui, c'était écrit sur le web. À force de répéter quelque chose, elle devient vraie, non?
Bienvenue au coeur des réseaux sociaux, avec leurs quartiers mal famés, repaires des trolls et du harcèlement par Internet. Sujet toujours d'actualité? Il y a quelque temps, une jeune fille s'est suicidée, non? Et là, une université a vu son système de communication envahi d'images haineuses? Et pas loin de chez vous, il y a peut-être un gamin qui souffre…
Il y a aussi des mondes virtuels où évoluent les « gamers » avec leurs avatars personnels et leurs sociétés organisées où on se bat à l'épée ou à la mitraillette, mais où on peut s'acheter des vies supplémentaires...
Et que dire des blogueurs qui vivent des revenus publicitaires générés par les clics, une compétition féroce?...
Le décor est planté pour un polar efficace, avec de courts chapitres qui fonctionnent un peu comme une série télé, se terminant sur une situation dramatique, pour réserver une surprise à l'ouverture du suivant, et ce n'est évidemment pas toujours ce à quoi on s'attendait.
Un portrait bien noir de la société techno. Mais, malgré les dérives de la communication du web-poubelle, il existe aussi sur le net des havres de paix (comme Babelio) qui donnent lieu à des échanges civilisés, même si les opinions sont parfois diamétralement opposées. Merci à modérateurs!
