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Critique de christellefillion
On ne va pas se mentir, la couverture que nous devons à l'illustrateur Nicolas Jamonneau a piqué ma curiosité. Lire le synopsis ? Peuh, même pas, j'ai sauté à pieds joints direct et j'ai bien fait.
Ce livre dépeint le mode de vie de femmes qui n'ont pas leur mot à dire dans un monde gouverné par les échanges marchands et la géopolitique. Les mariages restent des contrats conclus par les familles en vue de tirer profit de ces unions. Les femmes ne sont que des faire-valoir, puis des épouses qui se complaisent dans le rôle que leurs assignent leurs époux. À savoir, s'occuper de leur garde-robe et autres futilités du même acabit. Sois belle et tais-toi, quoi. Voilà qui va plaire aux féministes...
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Mais c'est sans compter sur le caractère bien trempé de Kovan qui ne recherche pas un joli bibelot à exposer, mais une femme digne de l'épauler dans son rôle de kaezer. J'ai adoré cet homme meurtri couvert de cicatrices qui paraît froid et ne s'ouvre pas facilement aux autres, ainsi que la relation qui s'installe progressivement entre lui et Eugénie, leur façon de s'apprivoiser et de s'accommoder de leurs secrets respectifs. J'aurai juste apprécié davantage de caractère de la part de notre héroïne qui a tendance à accepter un peu vite sa condition.
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Rien ne manque à ce récit qui souffle le chaud et le froid, nous réserve son lot de surprises, de paysages, un triangle amoureux, des conspirations ET une fin sur laquelle je m'interroge... Comment l'auteure a pu nous faire ça !?!? Quelle frustration de finir la lecture après la bombe qu'elle a lâché ! ^^ Vivement la suite.
Ce livre dépeint le mode de vie de femmes qui n'ont pas leur mot à dire dans un monde gouverné par les échanges marchands et la géopolitique. Les mariages restent des contrats conclus par les familles en vue de tirer profit de ces unions. Les femmes ne sont que des faire-valoir, puis des épouses qui se complaisent dans le rôle que leurs assignent leurs époux. À savoir, s'occuper de leur garde-robe et autres futilités du même acabit. Sois belle et tais-toi, quoi. Voilà qui va plaire aux féministes...
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Mais c'est sans compter sur le caractère bien trempé de Kovan qui ne recherche pas un joli bibelot à exposer, mais une femme digne de l'épauler dans son rôle de kaezer. J'ai adoré cet homme meurtri couvert de cicatrices qui paraît froid et ne s'ouvre pas facilement aux autres, ainsi que la relation qui s'installe progressivement entre lui et Eugénie, leur façon de s'apprivoiser et de s'accommoder de leurs secrets respectifs. J'aurai juste apprécié davantage de caractère de la part de notre héroïne qui a tendance à accepter un peu vite sa condition.
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Rien ne manque à ce récit qui souffle le chaud et le froid, nous réserve son lot de surprises, de paysages, un triangle amoureux, des conspirations ET une fin sur laquelle je m'interroge... Comment l'auteure a pu nous faire ça !?!? Quelle frustration de finir la lecture après la bombe qu'elle a lâché ! ^^ Vivement la suite.
