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Critique de universemma
" Je ne suis pas belle "
" Je te vois. Telle que tu es. Telle que tu es vraiment. "
&#xNaN Mon avis &#xNaN
Dans ce roman, l'auteure nous apprend à voir. Pas juste regarder, non, elle nous apprend à voir avec le coeur et c'est très beau. Nous découvrons plus en détail l'histoire de Valentin, ce personnage qu'on peut rencontrer dans "Entre le crépuscule et l'aurore". C'est un roman qu'on peut lire seul évidemment. Mais pour ceux qui lisent tous les romans, c'est un véritable plaisir ce croisement d'histoires et d'avoir des échos de Cléa, Mathieu ou encore Maëlle.
Peut-on réellement voir lorsque nos yeux sont fermés ? La perception de chaque être humain est différente. Nous sommes capables de combler certains sens et interpréter ce qu'il se passe autour de nous. C'est ainsi que Valentin peut voir Annabelle. Celle qu'elle cache aux autres. Il la voit malgré sa cécité. Cette dernière porte un masque qu'il est bien difficile à retirer. Pourtant, il est celui qui a repoussera dans ses retranchements. Un masque d'un côté, une colère de l'autre. Détresse, tristesse, colère, rancoeur.. le plus aveugle n'est pas toujours celui que l'on croit.
Nous le savons, parfois, c'est celui qui sourit qui souffre le plus. Nous sommes tous emporté dans notre quotidien comme Annabelle et ses amis. Ils sont jeunes et vivent dans l'insouciance. Mais elle souffre en silence. Elle souffre tellement qu'elle n'est même plus capable de se regarder en face. le poids des mots, aussi insignifiants soient-ils à nos yeux, a toujours un impact.
L'auteure nous offre un roman rempli de souffrance. La plume est si douce et légère que nous ne pouvons que comprendre les personnages et avoir mal avec eux. L'handicap ou le désamour de soi sont des sujets forts que Naïs traite avec une certaine finesse et sans prendre de gant. Elle va jusqu'au bout du sujet, jusqu'au fond du trou.
La relation entre les deux protagonistes est intense et forcément portée par ce mal qui les ronge. C'est le genre de roman qui nous fait passer par mille émotions
" Je te vois. Telle que tu es. Telle que tu es vraiment. "
&#xNaN Mon avis &#xNaN
Dans ce roman, l'auteure nous apprend à voir. Pas juste regarder, non, elle nous apprend à voir avec le coeur et c'est très beau. Nous découvrons plus en détail l'histoire de Valentin, ce personnage qu'on peut rencontrer dans "Entre le crépuscule et l'aurore". C'est un roman qu'on peut lire seul évidemment. Mais pour ceux qui lisent tous les romans, c'est un véritable plaisir ce croisement d'histoires et d'avoir des échos de Cléa, Mathieu ou encore Maëlle.
Peut-on réellement voir lorsque nos yeux sont fermés ? La perception de chaque être humain est différente. Nous sommes capables de combler certains sens et interpréter ce qu'il se passe autour de nous. C'est ainsi que Valentin peut voir Annabelle. Celle qu'elle cache aux autres. Il la voit malgré sa cécité. Cette dernière porte un masque qu'il est bien difficile à retirer. Pourtant, il est celui qui a repoussera dans ses retranchements. Un masque d'un côté, une colère de l'autre. Détresse, tristesse, colère, rancoeur.. le plus aveugle n'est pas toujours celui que l'on croit.
Nous le savons, parfois, c'est celui qui sourit qui souffre le plus. Nous sommes tous emporté dans notre quotidien comme Annabelle et ses amis. Ils sont jeunes et vivent dans l'insouciance. Mais elle souffre en silence. Elle souffre tellement qu'elle n'est même plus capable de se regarder en face. le poids des mots, aussi insignifiants soient-ils à nos yeux, a toujours un impact.
L'auteure nous offre un roman rempli de souffrance. La plume est si douce et légère que nous ne pouvons que comprendre les personnages et avoir mal avec eux. L'handicap ou le désamour de soi sont des sujets forts que Naïs traite avec une certaine finesse et sans prendre de gant. Elle va jusqu'au bout du sujet, jusqu'au fond du trou.
La relation entre les deux protagonistes est intense et forcément portée par ce mal qui les ronge. C'est le genre de roman qui nous fait passer par mille émotions
