On est dans une atmosphère à la
James Ellroy, début des années 60 à Los Angeles... on sent les auteurs fasciné par l'époque, en particulier par les voitures (dont la finesse du trait est exceptionnel) ; le scénario est assez complexe et ce n'est pas le dessin des personnages qui aide à se retrouver (ils se ressemblent beaucoup), ni l'organisation des planches (on passe d'une intrigue à l'autre sans transition en plein milieu de page).
Il faut s'accrocher mais c'est plutôt réussi même si la noirceur de l'histoire est adoucie par la finesse (la joliesse) et la neutralité du trait et de la colorisation !
A suivre donc !
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