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Critique de tchouk-tchouk-nougat


20 ans après le premier cycle de Sherman, Desberg nous concocte un second cycle dont l'héroïne est Jeannie Sherman. Elle est marié à un chanteur d'opéra juif, et tout les deux ont passés des jours difficiles pendant la seconde guerre mondiale. Mais leur amour a été plus fort, ils ont survécu et se sont retrouvés. Alors qu'est ce qui a bien pu amener se couple à se disputer, à laisser Ludwig étendu raide mort dans le salon familial?

Je trouve le début de ce second cycle un peu brouillon. La faute principalement au très nombreux retour en arrière ou en avant, à différentes époques, et cela sans vraiment de code pour les identifier facilement. Pas de colorisation différente, rarement une date, pas forcement de changement physique... du coup par moment on se retrouve perdu ne sachant plus à quelle époque le récit se déroule. Ce désordre chronologique gêne un peu la lecture.
Jeannie reste une héroïne très mystérieuse pour l'instant. Les faits s'enchainent sans qu'on arrive à les relier entre eux. Il semble y avoir du potentiel mais ça fait brouillon. J'attends donc le tome suivant pour voir si tout ça va se simplifier où au contraire plonger un peu plus dans le brouillard...

Déception au niveau des dessins. Certes cette ligne claire classique reste en accord avec la ligne éditoriale du premier tome, mais est nettement plus fade que le trait de Griffo. Ca manque de reliefs, de détail, d'expression et la colorisation terne n'aide en rien à relever le coup de crayon. Les personnages ne présentent aucune caractéristique physique. Des qu'ils changent de coiffure c'est fini on les reconnait plus. J'ai du mal à accrocher malgré qu'ils ne gênent pas lecture sauf dans le cas des femmes blondes (à plusieurs moments je me suis demandée si c'était la même femme ou juste une coïncidence). Un peu plus d'effort a été fait sur la couverture.
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