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Critique de LoutreSupreme1
Le tome 1 d'Absolu avait été une véritable révélation pour moi sur de nombreux points, un livre qui a changé ma vie. J'étais donc impatiente de lire et je l'ai précommandé dès le premier jour. Mais finalement, le destin m'a permis de faire taire mon impatience plus tôt, puisqu'il fut disponible en avant-première aux Halliennales et que je fais partie des chanceux à l'avoir reçu ce jour-là.
Deux jours. Il ne m'a fallu que cela pour dévorer les 600 pages qui composent ce second volet. J'ai été immédiatement emportée par l'histoire, les personnages… tout. Reposer ce livre pour dormir et manger était presque douloureux, comme se priver d'oxygène d'un coup.
Livre chorale, second tome… deux malus avec lequel cet ouvrage part dès le début. Mais point de syndrome du tome 2 ici, il vaut autant, peut-être même plus, que son prédécesseur en terme de qualité, de plume, d'intrigue. Et à dire vrai, il est même difficile de les comparer car ils n'ont, en l'état, rien à voir. Adieu le huis-clos de la Zone, adieu la quête unique qui lit les mobilisés. Cette fois le monde s'ouvre pour nous et pour nos narrateurs.
Il faut dire qu'ils sont nombreux, nos narrateurs. Et là encore pas de faiblesse. Aucun point de vue qu'on a envie de passer vite vite vite, comme ça peut être le cas avec ce genre de narration. Non, on s'accroche à chacun d'eux, on vit avec eux leurs peines, leurs douleurs, leurs quelques rares joies.
Et on hurle. Ca, Margot Dessenne l'avait annoncé dans son teasing et elle avait bien raison. On hurle de tout ce qu'il se passe, contre certains narrateurs, contre certains personnages secondaires, contre l'intrigue aussi. On hurle parce qu'on est tellement impliqués dans toute cette affaire, et c'est tout ce qu'on peut y faire alors que l'intrigue se déroule, inarrêtable.
Margot Dessenne sait nous prendre aux tripes et nous accrocher à son histoire. Elle sait ce qui fonctionne, sait ce qui lui a plu dans d'autres oeuvres et nous plaira donc sûrement dans celle-ci. Et cela, sans qu'on ait réellement d'impression de déjà vu.
Absolu, ça a l'étoffe des grands classiques de notre adolescence. Ça a l'étoffe d'être traduit partout ailleurs. Ça a l'étoffe d'être adapté dans d'autres formats. Et c'est bien tout ce que je lui souhaites. Aussi, tout ce que je me souhaites. Il reste un tome, mais ça ne me suffira pas. Je ne suis pas prête à lâcher l'univers d'Absolu, même une fois sa conclusion venue.
La voilà, la nouvelle obsession de ma vie.
Deux jours. Il ne m'a fallu que cela pour dévorer les 600 pages qui composent ce second volet. J'ai été immédiatement emportée par l'histoire, les personnages… tout. Reposer ce livre pour dormir et manger était presque douloureux, comme se priver d'oxygène d'un coup.
Livre chorale, second tome… deux malus avec lequel cet ouvrage part dès le début. Mais point de syndrome du tome 2 ici, il vaut autant, peut-être même plus, que son prédécesseur en terme de qualité, de plume, d'intrigue. Et à dire vrai, il est même difficile de les comparer car ils n'ont, en l'état, rien à voir. Adieu le huis-clos de la Zone, adieu la quête unique qui lit les mobilisés. Cette fois le monde s'ouvre pour nous et pour nos narrateurs.
Il faut dire qu'ils sont nombreux, nos narrateurs. Et là encore pas de faiblesse. Aucun point de vue qu'on a envie de passer vite vite vite, comme ça peut être le cas avec ce genre de narration. Non, on s'accroche à chacun d'eux, on vit avec eux leurs peines, leurs douleurs, leurs quelques rares joies.
Et on hurle. Ca, Margot Dessenne l'avait annoncé dans son teasing et elle avait bien raison. On hurle de tout ce qu'il se passe, contre certains narrateurs, contre certains personnages secondaires, contre l'intrigue aussi. On hurle parce qu'on est tellement impliqués dans toute cette affaire, et c'est tout ce qu'on peut y faire alors que l'intrigue se déroule, inarrêtable.
Margot Dessenne sait nous prendre aux tripes et nous accrocher à son histoire. Elle sait ce qui fonctionne, sait ce qui lui a plu dans d'autres oeuvres et nous plaira donc sûrement dans celle-ci. Et cela, sans qu'on ait réellement d'impression de déjà vu.
Absolu, ça a l'étoffe des grands classiques de notre adolescence. Ça a l'étoffe d'être traduit partout ailleurs. Ça a l'étoffe d'être adapté dans d'autres formats. Et c'est bien tout ce que je lui souhaites. Aussi, tout ce que je me souhaites. Il reste un tome, mais ça ne me suffira pas. Je ne suis pas prête à lâcher l'univers d'Absolu, même une fois sa conclusion venue.
La voilà, la nouvelle obsession de ma vie.
