L'auteur part à la recherche des "petites traces" de sa famille paternelle depuis sa bisaïeule et nous fait profiter de sa quête historique.
Taba-Taba est le surnom d'un des malades mentaux de l'hôpital psychiatrique dans lequel
Patrick Deville a passé sa prime enfance, enfermé lui aussi par la force des choses puisque son père en était le directeur. Il n'est présent qu'au début et à la fin du livre, le fil conducteur du récit étant plutôt l'arrière-grand-mère, "la petite fille en blanc" qui vivait dans un pays lointain et ensoleillé.
Même si j'apprécie les références historiques et l'autobiographie, j'avoue m'être un peu perdue dans ce récit qui saute d'une époque à l'autre et d'un personnage à l'autre sans aucun ordre chronologique, avec de nombreux retours en arrière déconcertants pour les lecteurs et lectrices.
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