Heredia est heureux quand Julio Servilo lui demande d'enquêter afin de retrouver son père. Ce ne sont pas les affaires qui croulaient pour ce détective privé. En même temps, il reçoit une vieille lettre de sa défunte mère qui le pousse à retrouver son père, un boxeur.
Ce n'est pas la première aventure
De Heredia, j'ai eu un peu de mal à me retrouver dans ses diverses connaissances. Mais l'homme a l'air assez charmeur et aime bien boire un coup ou deux (ou plus). Les enquêtes sur les deux pères avancent en parallèle et Diaz Eterovic fait découvrir le côté noir des maisons de retraite. C'est bien un des côtés captivants de ce livre, s'intéresser aux personnes du troisième âge et montrer les difficultés que celles-ci peuvent avoir. La progression des enquêtes proprement dite, l'interrogation des personnes… m'ont moins passionnée. Par contre, j'ai beaucoup aimé la relation originale qu'il a avec son chat,
Simenon (belles réparties) ou l'humour caustique du détective. Une bonne découverte de cet auteur chilien, à relire, à l'occasion.
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