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Critique de dido600


«La Grande Maison». Dar Sbitar, microcosme emblématisant le peuple tout entier. Aucune intrigue. Mais, seulement, un garçonnet, Omar, 11 ans, qui découvre, à l'école mais, aussi et surtout, dans la rue, le monde qui l'entoure. Qui vit la faim quotidienne. Qui découvre la valeur de la liberté. Qui sent que «sa mère est à la maison, c'est Aïni ; il n'en a pas deux… Patrie ou pas patrie, la France n'est pas sa mère ». Une fresque sociale… qui. a imposé des noms et des lieux : Aïni, Dar Sbitar… Un seul héros : la misère… avec une colère qui sourdre, des interrogations («pourquoi ne se révoltent-ils pas ? Ont-ils peur ? de quoi ont-ils peur… pourtant c'est simple» se dit l'enfant)... et une révolte qui monte, qui monte...
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