Je me suis forcée à finir ce roman. Jusqu'au bout j'espérai un petit élément qui me ferait aimer ce livre. Mais rien n'est venu. Chapitre après chapitre les mêmes sujets revenaient : la faim et la misère. J'ai trouvé ça long.
Mais je ne regrette pas d'avoir lu "
La grande maison" car ça m'a permis d'avoir un aperçu du quotidien d'une famille algérienne dans les années 40.
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