Quel plaisir de lire cette langue du XVIII ème siècle, où l'art de la conversation était l'une des qualités les plus prisées de la haute société.
Un Sultan se voit offrir un bijou magique. Toute femme qui le portera verra ses parties les plus intimes dévoiler "tout haut" ce qu'elles pensent "tout bas". Mais comme nous sommes chez
Diderot elles parleront en latin. Voilà de quoi me faire regretter de ne pas avoir été plus assidu dans mes cours de latin en 4eme!
Ce roman était de loin l'oeuvre la plus célèbre du vivant de l'auteur. Elle lui causa bien des ennuis en une époque autrement plus puritaine que la nôtre.
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