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Critique de LivresdAvril
J'ai emprunté "Mémoires d'une jeune guenon dérangée" car il m'a fait penser à "Mon nez, mon chat, l'amour et moi" de Louise Rennison, qui comme le dit très bien Maureen Wingrove (alias Diglee) dans ses remerciements, a "illuminé mon adolescence".
Comme on a tendance à enjoliver ses souvenirs avec le temps, cette influence aurait pu être écrasante (si si, Louise Rennison m'ayant plusieurs fois fait pleurer de rire le terme n'est pas trop fort). Or, Maureen Wingrove relève le défi avec brio dans ce journal tout ce qu'il y a d'autobiographique.
Les copines (trop hiiiii), les amours (à sens unique), le collège (relou), les parents (tyranniques), la frangine (barrée), les chats (mignons bien qu'un brin dégueux) mais aussi quelques messages féministes en passant sur les poils, l'avortement, la place laissée aux garcons dans la cour, les règles... tout cela sans trop en faire.
Mon loulou et moi avons bien rigolé et avons enchaîné les aventures de Cléo avec le deuxième tome dont le titre nous amuse déjà : "Autant en emporte la musaraigne".
Comme on a tendance à enjoliver ses souvenirs avec le temps, cette influence aurait pu être écrasante (si si, Louise Rennison m'ayant plusieurs fois fait pleurer de rire le terme n'est pas trop fort). Or, Maureen Wingrove relève le défi avec brio dans ce journal tout ce qu'il y a d'autobiographique.
Les copines (trop hiiiii), les amours (à sens unique), le collège (relou), les parents (tyranniques), la frangine (barrée), les chats (mignons bien qu'un brin dégueux) mais aussi quelques messages féministes en passant sur les poils, l'avortement, la place laissée aux garcons dans la cour, les règles... tout cela sans trop en faire.
Mon loulou et moi avons bien rigolé et avons enchaîné les aventures de Cléo avec le deuxième tome dont le titre nous amuse déjà : "Autant en emporte la musaraigne".
