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Critique de Ode
Quel pensum !
Je suis enfin arrivée au bout de ce livre et la première chose que je peux vous dire est que l'éditeur n'a pas fait son travail. le texte est constellé de fautes de français, au point que cela devient cocasse. Comme par exemple : « Si vous savez où débusquer ces bêtes malfaisantes, qu'attendons-nous pour les traquer dans leur REPERE dès à présent ? » ou « Vous vous m'EPRENEZ, Lanz. » de plus, le récit est plombé par un style très lourd : chaque phrase regorge d'adjectifs et d'adverbes inutiles, mais aussi de formules toutes faites, qui m'ont ôté tout plaisir de lecture. Enfin, les explications et notes historiques, trop détaillées, ralentissent considérablement l'intrigue au point de la rendre indigeste.
Alors pourquoi avoir persévéré ? Parce que je voulais comprendre la théorie avancée par l'auteur, Bleuette Diot, selon laquelle la civilisation humaine aurait été initiée ou guidée par des êtres supérieurs ayant laissé une empreinte sur notre Terre. Témoins, les cromlechs ou cercles mégalithiques encore présents à divers endroits du globe : « Les ondes du ciel, attirées par ces antennes de pierre, érigées à la verticale, s'écoulent en permanence vers la terre », faisant de ces lieux « une porte occulte ouvrant sur les prodigieux vortex de l'univers. »
C'est par Didier van Cauwelaert et son passionnant essai Au-delà de l'impossible que j'ai découvert l'existence de Bleuette Diot et de ses travaux de recherche concernant l'origine de notre civilisation. La splendide et énigmatique Yrmeline, héroïne de ce roman médiéval situé en Estonie au 14ème siècle, serait ainsi une descendante de ce peuple supérieur, et pour cela exposée aux plus grands dangers matérialisés par l'Ordre noir du « Bellator Rex ». Malheur aux preux chevaliers, tel Lanz Malberg, qui s'éprennent de la belle...
Je reconnais que Bleuette Diot fait preuve de beaucoup d'érudition et de lyrisme, mais après avoir peiné sur le tome 1 d'Yrmeline pendant des semaines et des semaines, je me contenterai de regarder ses interviews sur internet.
Je suis enfin arrivée au bout de ce livre et la première chose que je peux vous dire est que l'éditeur n'a pas fait son travail. le texte est constellé de fautes de français, au point que cela devient cocasse. Comme par exemple : « Si vous savez où débusquer ces bêtes malfaisantes, qu'attendons-nous pour les traquer dans leur REPERE dès à présent ? » ou « Vous vous m'EPRENEZ, Lanz. » de plus, le récit est plombé par un style très lourd : chaque phrase regorge d'adjectifs et d'adverbes inutiles, mais aussi de formules toutes faites, qui m'ont ôté tout plaisir de lecture. Enfin, les explications et notes historiques, trop détaillées, ralentissent considérablement l'intrigue au point de la rendre indigeste.
Alors pourquoi avoir persévéré ? Parce que je voulais comprendre la théorie avancée par l'auteur, Bleuette Diot, selon laquelle la civilisation humaine aurait été initiée ou guidée par des êtres supérieurs ayant laissé une empreinte sur notre Terre. Témoins, les cromlechs ou cercles mégalithiques encore présents à divers endroits du globe : « Les ondes du ciel, attirées par ces antennes de pierre, érigées à la verticale, s'écoulent en permanence vers la terre », faisant de ces lieux « une porte occulte ouvrant sur les prodigieux vortex de l'univers. »
C'est par Didier van Cauwelaert et son passionnant essai Au-delà de l'impossible que j'ai découvert l'existence de Bleuette Diot et de ses travaux de recherche concernant l'origine de notre civilisation. La splendide et énigmatique Yrmeline, héroïne de ce roman médiéval situé en Estonie au 14ème siècle, serait ainsi une descendante de ce peuple supérieur, et pour cela exposée aux plus grands dangers matérialisés par l'Ordre noir du « Bellator Rex ». Malheur aux preux chevaliers, tel Lanz Malberg, qui s'éprennent de la belle...
Je reconnais que Bleuette Diot fait preuve de beaucoup d'érudition et de lyrisme, mais après avoir peiné sur le tome 1 d'Yrmeline pendant des semaines et des semaines, je me contenterai de regarder ses interviews sur internet.
