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Citations sur Phobos, tome 2 : Il est trop tard pour oublier (127)

Même dans les situations les plus difficiles, il reste toujours un espoir, même dans les mines les plus asséchées, il reste toujours une pépite.
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Ce n'est pas celui qui reçoit qui décide ce qu'il mérite ou pas, c'est celui qui offre.
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LA POITRINE QUI EXPLOSE. Le squelette qui se brise en mille éclats de verre. Le crâne qui se fend comme une coquille sous un marteau.
Black-out.

(...)

« LÉO ?... Léo ?... Léo, tu m’entends ? »
(...)
« Léo, est-ce que tu respires encore sous ton casque ? Est-ce que ton cœur bat encore sous ta combinaison ? Oh, Léo, pour l’amour de Dieu, ne me dis pas que tu es morte ! »

« En même temps, si je te le disais, c’est que je ne le serais pas vraiment, n’est-ce pas ? »
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Les roses n'ont rien de mièvre ou de gentil, elles sont juste vraies. Cruellement vraies. Si leurs pétales nous montrent que la vie est belle à couper le souffle, leurs épines nous rappellent qu'elle est dangereuse à en crever.
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Tu es une étoile, Léonor, une géante rouge ; mais moi je suis un trou noir, et les trous noirs dévorent les étoiles qui s'approchent trop près d'eux. Je risque d'engloutir ta lumière dans ma nuit.
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Serena reste impassible devant ces menaces, son sourire gravé dans son visage comme celui d’un mannequin de cire,
« Du calme, dit-elle. Pas la peine de nous énerver. Mon équipe d’instructeurs, comme vous dites, s’est réduite comme peau de chagrin. Il ne reste qu’Arthur Montgomery, dont je réponds personnellement, car je le tiens par où on tient les hommes le plus fermement. »
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De l'orphelinat au foyer pour jeunes ouvrières, du foyer au camp d'entrainement Genesis, je n'ai jamais su ce que ça faisait de se sentir chez soi.

Aujourd'hui dans ces bras qui m'étreignent, je le comprends enfin.
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« Moi, perso, j'ai pas attendu la douche avec Chat pour découvrir le corps masculin ! clame fièrement Kelly. Mais bon, les spectateurs ne sont pas censés le savoir, alors ça ne me gêne pas de jouer les vierges effarouchées. »
Je sens les regards des unes et des autres converger vers Kelly avec un mélange d'envie et de peur.
« C'est vrai ? demande Kris. Tu as vraiment pris une douche avec lui ?
- Ben oui. Kenji a raison, ça permet de se doucher deux fois par jour, quand on a pas la chance d'avoir cent litres d'eau chaude à dispo, comme Alexeï et toi.
- Et tu étais... toute nue ? fait Safia en écarquillant ses yeux cernés de khôl.
- Vous prenez vos douches habillées, vous, en Inde ? Comme ces femmes qui se baignent dans le Gange en sari ?
- Mais tu n'as pas... Il n'a pas... Enfin, tu vois ce que je veux dire... »
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« Une douche chaude par jour, c'est déjà le rêve! s'exclame-t-elle. Je n'y avais pas toujours droit, là-bas dans notre caravane de Toronto, surtout quand mes frangins passaient en premier. C'était ça ou leurs odeurs de pieds - moi, ils prétendaient que je sentais bon de toute façon, parce que j'étais une fille...
- Ils avaient raison, fait soudain Kenji, sortant du silence dans lequel il se mure depuis le début de la discussion.
- Qu'est-ce que tu dis, Chat ?
- Tes frères. Ils avaient raison. Tu sens bon... même sans t'être douchée depuis vingt-quatre heures.
- Euh... C'est sans doute l'arôme de mon chewing-gum...
- Non, celui-là je l'ai goûté quand on s'est embrassés - citron, n'est-ce pas ? Mais l'odeur de tes cheveux, c'est plutôt yuzu.
- Yu-quoi ?
- Yuzu. Un agrume qui vient de chez moi, au Japon. Entre le cédrat, le pamplemousse et la mandarine. La tradition veut qu'on prenne un bain aux yuzus le jour du solstice d'hiver, pour ne pas attraper de rhume pendant toute l'année. Ici, il n'y a pas de yuzus, il n'y a pas de bain... » Il relève soudain ses yeux cernés et rencontre le regard de Kelly, avec cette franchise abrupte dont sont parfois capables les grands timides. « ... mais il y a toi, et cinquante litres d'eau chaude par jour. Si tu veux, nous pourrons prendre nos douches ensembles, pour en profiter nous aussi matin et soir. »
Mozart pousse un sifflement :
« Et ben ! Il n'y a pas que la douche qui soit chaud-bouillante ! Il cache bien son jeu, le petit dernier ! »
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(...)
- C’est fascinant.
- C’est effrayant...
- Les deux vont parfois de pair. Ce qui est nouveau nous fascine et nous fait peur en même temps, non ?
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