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Critique de Colibrille
Les quatre de Baker Street sont de retour ! Les dessins de David Etien sont toujours aussi élégants et dynamiques. Les expressions des personnages, les vêtements, les décors... Tout est soigné et fait pour nous plonger dans le Londres victorien de Sherlock Holmes.
En revanche, j'ai moins été séduite par l'intrigue de ce sixième tome. J'ai trouvé qu'elle peinait à trouver un véritable rythme malgré les scènes d'action. Je me suis aussi sentie un peu perdue entre les multiples personnages qui sont au cœur de l'intrigue. Je pense que j'aurais dû relire le tome précédent afin de bien avoir en tête les différents personnages.
Quoi qu'il en soit, je reste tout de même sur une impression plus que positive. Le drame prend le dessus sur l'humour qui caractérisait la série à son commencement. Un changement bienvenu qui donne une nouvelle impulsion et plus de densité à l'histoire.
En revanche, j'ai moins été séduite par l'intrigue de ce sixième tome. J'ai trouvé qu'elle peinait à trouver un véritable rythme malgré les scènes d'action. Je me suis aussi sentie un peu perdue entre les multiples personnages qui sont au cœur de l'intrigue. Je pense que j'aurais dû relire le tome précédent afin de bien avoir en tête les différents personnages.
Quoi qu'il en soit, je reste tout de même sur une impression plus que positive. Le drame prend le dessus sur l'humour qui caractérisait la série à son commencement. Un changement bienvenu qui donne une nouvelle impulsion et plus de densité à l'histoire.
