Abandonné à la page 115 (sur 375)
Un milieu d'écrivain libertaires sans pitié les uns envers les autres.
Un goût prononcé pour la pornographie.
Des scènes très crues.
Des intérêts d'éditeurs.
Tout ça m'a lassée et je ne me suis pas senti le courage de continuer.
Mêmes sentiments que pour le livre « Oh »
Finalement, je crois que j'aime de moins en moins lire
Philippe Djian.
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