Je me suis envolée très haut avec
l'Oiseau Canadèche, sans un flèche, en toute simplicité, 118 pages mais quel breuvage ! duveteux, perspicace, poétique, barré/clôturé à contresens, vaporeux mais assez raide ; un manège dont je ne voulais plus descendre, soit un atterrissage à rebrousse-plumes, mais enjouée j'en reviens, très enjouée d'où me sonne l'épigraphe :
...
La cloche du temple se tait.
Mais le son continue
de sortir des fleurs.
BASHÔCommenter  J’apprécie         642