>
Critique de antoinegervais
Coup de coeur. Ayant déjà un parti pris pour l'auteur, je ne m'attendais à rien de moins. 11 braves gens se retrouvent à un camp de débranchement où ils devront apprendre à cohabiter, durant une semaine, sans aucune technologie que ce soit. Il s'agit d'une superbe prémisse pour que se déroule une semaine incroyablement mouvementé.
Pour des raisons qui seront habilement dévoilées à la fin du roman, un type veut s'en prendre aux participants. Pour qui? Pour quoi? Rien ne trahit le suspense de ce roman, au fur et à mesure que les cadavres s'additionnent.
Malgré le destin tragique de personnages attachants (que dire de Gilles, ce boomer frustré), le livre garde toujours un ton cynique qui fait la renommé de l'auteur alors qu'il prend un malin plaisir à critiquer la société à travers les personnages.
Pavés de rebondissements, ce camp de débranchement a tout pour faire débrancher quiconque entamera ces quelques 300 pages.
Un roman sans prétention qui fera probablement beaucoup de bruit. Je seconde Marianna Mazza, qui en ferait un film demain matin.
Pour des raisons qui seront habilement dévoilées à la fin du roman, un type veut s'en prendre aux participants. Pour qui? Pour quoi? Rien ne trahit le suspense de ce roman, au fur et à mesure que les cadavres s'additionnent.
Malgré le destin tragique de personnages attachants (que dire de Gilles, ce boomer frustré), le livre garde toujours un ton cynique qui fait la renommé de l'auteur alors qu'il prend un malin plaisir à critiquer la société à travers les personnages.
Pavés de rebondissements, ce camp de débranchement a tout pour faire débrancher quiconque entamera ces quelques 300 pages.
Un roman sans prétention qui fera probablement beaucoup de bruit. Je seconde Marianna Mazza, qui en ferait un film demain matin.
