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Critique de XIX
Un livre qui se lit en une journée, très agréablement traduit en français moderne sans trop en faire (on retrouve quand même un champ-lexical médiéval).
A la cour du roi Arthur nous découvrons un nouveau chevalier à qui il va arriver une suite d'aventures plus rocambolesques les unes que les autres, dans la plus pure tradition du cycle arthurien. Nous rencontrons une sorte de dragon dès le début, des nains perfides, des géants lépreux qui se baignent dans le sang d'enfants saignés à mort, des duels épiques et violents à souhait.
Une plongée dans la fantasy du 12° siècle pleine de piquant et servie par quelques gravures du grand Gustave Doré (hélas en format poche)
A la cour du roi Arthur nous découvrons un nouveau chevalier à qui il va arriver une suite d'aventures plus rocambolesques les unes que les autres, dans la plus pure tradition du cycle arthurien. Nous rencontrons une sorte de dragon dès le début, des nains perfides, des géants lépreux qui se baignent dans le sang d'enfants saignés à mort, des duels épiques et violents à souhait.
Une plongée dans la fantasy du 12° siècle pleine de piquant et servie par quelques gravures du grand Gustave Doré (hélas en format poche)
