Ayant connu
Dostoievski avec sa nouvelle « La Douce » que j'ai tant apprécié, ce roman m'a pourtant laissé sur ma faim. Lorsque l'on connaît l'oeuvre de l'auteur, l'histoire paraît de suite prévisible : quel malheur touche désormais Goliadkine ? Est-il fou ? Est-il victime d'un coup monté ?
Du début à la fin, le suspense n'en est pas vraiment un ; ce qui n'empêche pas pour autant de reconnaître le style signature de
Dostoievski. Ni une déception amère, ni un enchantement :
le Double se lit, et si quelques fois le marque page a servi de repère, le livre lui ne m'a pas marqué plus que ça.
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