Le jeu peut-être considéré comme une pénitence. Celle-là qui incarne la bon Dieu et le beau Diable. Il est le refuge des personnages ou tout au moins de leur médiocrité ou encore de l'absurdité de leurs actes. le jeu est en quelque sorte leur lave-main, ils croient y retrouver un acte de purification. ils s'y gravitent comme s'ils imploraient le bon dieu ... puis ils découvrent un beau diable qui semble leur sourire...
Une autobiographie bien poignante car le jeu dans ce livre commence au premier mot du livre jusqu'au dernier. Tout n'a été que jeu dans ce livre même des personnages n'ont été que des jeux, leurs rapports également n'ont été que des jeux.
Il faut avoir connu le jeu pour pouvoir écrire de la sorte.
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