C'est le
Druillet que j'aime le moins.
Alors oui, ses habituelles "cathédrales de papier" (je ne sais plus de qui est l'expression, devenue un poncif dont je vous prie de m'excuser) sont bien là.
Mais là, ça mouline dans le vide parce que le scénario est à la fois très mince et trop obscur. Il faut un tiers de l'album en guise d'introduction pour entrer dans... une histoire quasi inintelligible, pétrie de noms qui sont soit des références obscures soit des inventions grandiloquentes. On va dire que l'univers de Demuth m'a laissé de marbre...
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