Il existe des liens qui ne se ressoudent en aucune manière, malgré l'écoulement des eaux sous le pont de nos conflits. La rupture est une des grandes figures de l'histoire humaine. Apprendre à rompre comme apprendre à s'unir.
C'est bien beau, on a tous des besoins à satisfaire. Ils ne s'accordent que rarement.
On a besoin d'une nouvelle forme d'amour et d'un autre rapport au monde, non pas celui des mères castratrices, mais celui des femmes joyeuses et créatives.
La chute de ces deux tours, avec leur forme de phallus, étendards tout-puissants, marquait la fin du pouvoir masculin. Les hommes avaient eu leur chance.Ils avaient perdu. Dorénavant, seules les femmes seraient en mesure de changer le destin de l'humanité.
Tout le monde s'embrasse. Il y a de la maladresse, de l'émotion, des blessures. On espère une nouvelle vie…
Le cheval, c'est l'animal dompté par l'homme, l'animal du voyage, des sauts d'obstacles, de la guerre. Grâce à lui, on a pu se déplacer dans l'espace et construire une pensée, une évasion. C'est le début de l'art.
Un bouledogue, c'est source d'emmerdes.
Seule l'endurance aux coups et une puissante concentration mentale prépareraient efficacement la réforme annoncée du corps.
La collision amoureuse entre deux êtres ne peut se produire sans une adéquation du temps à l'histoire intime des sujets. À cela s'ajoute le contexte de la rencontre, propice ou non à une accélération du désir.
La pensée est un sexe et les jeunes filles qui rêvent d'un autre monde aiment les penseurs.