La guerre est toujours aussi vive mais Bêtes semblent prendre l'ascendant sur L'homme. Et chez le seigneur Clam, déchiré entre sa double nature, en sera-t-il autant? L'amour entre lui et Aube pourra-t-il offrir la paix que sa haine avait déclenché?
Une très jolie fin pour ce triptyque qui prône l'acceptation des différences et le respect des uns envers les autres même si les allures ou les coutumes ne sont pas semblables.
Une fin un peu fleur bleue qui m'a semblé un poil facile tout de même. Les rois de chaque coté acceptent bien vite la paix juste parce qu'une humaine a aimé un loup. Mais ne boudons pas notre plaisir devant ce très joli conte.
Un univers qu'à parfaitement magnifié la talentueuse
Béatrice Tillier qui a su animé les visages des humains tout autant que celles des bêtes. Bravo, un beau travail!
Commenter  J’apprécie         150