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Le Bois des Vierges tome 3 sur 4
EAN : 9782756025483
54 pages
Delcourt (08/05/2013)
3.5/5   49 notes
Résumé :
La guerre entre les hommes et les bêtes bat son plein. Tandis que les cadavres se comptent par milliers de part et d'autre, Aube et le seigneur Clam réussissent à s'enfuir du bois des vierges en feu. Mais chaque monde a ses règles et celui des hommes n'accepte pas les hybrides. Clam devra choisir son camp entre Homme et Loup, au risque de perdre son aimée. Poils et peaux s'uniront-ils un jour de nouveau ?
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Il faut que cesse ce désordre, il faut que les contraires s'unissent.
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Ce tome fait suite à le Bois des Vierges, tome 2 : Loup (2010) qu'il faut avoir lu avant car il s'agit d'un triptyque qui forme une histoire complète. Sa première édition date de 2013. Il a été réalisé par Jean Dufaux pour le scénario, et par Béatrice Tillier pour les dessins et les couleurs. Il s'agit de leur première collaboration. Par la suite, ils réaliseront le cycle des Sorcières pour la série La complainte des landes perdues. Il comprend cinquante-quatre pages de bande dessinée.

En cette nuit d'automne, les loups attaquèrent le château de Hache-Pierre par la mer. La sombre bâtisse tombait déjà en ruine, aucun gardien n'était à signaler sur les remparts. Les loups escaladèrent les pierres, les rochers, en silence, avec des mouvements furtifs, le poing serré sur la dague ou l'épée. À leur tête se trouve Loup-Gris. Il vient chercher quelque chose qui lui tient à coeur. Mais il ignore encore qu'il lui faudra affronter une image bien cruelle. de celles qu'adressent les hommes aux bêtes qui les entourent. Griffe-Tout est dans la grande salle du château, reçu de mauvaise grâce. En présence du valet du maître des lieux, il informe Hache-Pierre qu'ils prennent possession de cette forteresse qui est sale, livrée aux quatre vents, mais qui occupe une position stratégique qui les intéresse. Hache-Pierre l'interroge sur la nature de ce Ils. le lynx répond : ses ennemis, bêtes de haute ou basse taille, enfin réunies pour mieux le combattre. Hache-Pierre ordonne à son valet de clouer cette fourrure mitée au sol en parlant du lynx. le valet s'élance, mais son opposant lui tranche la gorge d'un coup d'épée. le maître de céans en a profité pour s'enfuir.

Loup-Gris fait son entrée dans la grande salle, suivi par une dizaine de ses soldats. Il découvre la tête de son propre père accrochée au mur en guise de trophée. Il ordonne qu'elle soit décrochée avec précaution. Griffe-Tout a découvert le passage dérobé. Par ce tunnel, Hache-Pierre est parvenu jusqu'à la plage où l'attend un frêle esquif. Il se rend compte que le fond en a été défoncé avec une grosse pierre encore présente. Les loups l'attendaient. Loup-Gris a rattrapé le fuyard et il indique à ses hommes que l'humain est à lui. le duel commence, les pieds dans l'eau. le loup porte le premier coup, ainsi que le second, les deux faisant couler le sang. L'humain porte le troisième. Loup-Gris est triomphant, les autres loups crient Carnage, à la vue du sang. le vainqueur leur indique que l'humain est à eux. Quelques jours plus tard, Griffe-tout se trouve dans la grande salle du château du prince des Armures pour lui relater l'assaut de la forteresse et la fin de Hache-Pierre : la chair humaine a été mangée. le seigneur objecte que le pacte nouveau interdisait de telles pratiques barbares, ignobles qui ravalent à l'état de bêtes. Griffe-Tout lui avoue qu'il a peu de goût pour la chair humaine qu'il trouve fade et vite faisandée. le seigneur sait que la position des humains s'est encore affaiblie : la semaine dernière, une de leurs troupes est tombée dans une embuscade. le combat fut rude et les hommes se sont trouvés pour la première fois confrontés au clan des ours.

Le lecteur revient autant pour la fin de l'histoire que pour les dessins fins et minutieux. Il retrouve toute la minutie qu'il attendait, dès les premières pages. Pour les décors, la texture des pierres du château, l'architecture représentée avec soin, de la taille de la cheminée de la grande salle dans cette forteresse à la décoration quasi-inexistante, entièrement fonctionnelle, sans apparat, le contraste s'avère total avec le château du prince des Armures qui évoque plutôt un château de la Loire avec le fleuve, les beaux meubles finement ouvragés. C'est à nouveau une autre ambiance dans le château d'Arcan : il reste des traces du passage des loups avec des objets brisés à terre, des tentures déchirées, l'éclairage est plus faible reflétant l'état d'esprit dépressif du seigneur des lieux. Les couloirs et escaliers prennent une allure encore plus massive et oppressante pendant la nuit à la lumière des torches. le lecteur peut encore accompagner les personnages pour déambuler dans le campement du clan des ours, puis dans celui du prince des Armures, et dans l'église abandonnée et délabrée où avait eu l'étrange cérémonie à la fin du premier tome.

Dès la première page, le lecteur retrouve toute la personnalité graphique de l'artiste : celle-ci commence par s'exprimer par le choix des couleurs, des teintes de violet tirant vers le rouge, de type tomette ou passe-velours. La suite se situe dans des dégradés de vert tirant vers le gris pour restituer la pierre. le lecteur relève le ciel orangé quand le seigneur Clam contemple les gibets. Il se délecte du bleu pâle tirant vers le vert pour l'onde fraîche dans laquelle Clam se baigne après l'affrontement contre la harpie. Il sent l'échauffement du jaune très soutenu de la lumière des torches lors de l'affrontement de Clam contre un ours, l'interprétant comme une métaphore de l'intensité du combat qui fait rage. Il sourit en voyant les individus sortirent de la nuit claire pour se diriger vers la lumière de la lanterne de Clam, une autre métaphore de personnes dans le dénuement attirées par une lumière dans cette nuit. Les personnages sont représentés avec soin, méticulosité, attestant de l'investissement de l'artiste pour leur donner de la personnalité, pour les faire exister, que ce soient les visages et leurs expressions, les postures, les tenues sophistiquées, un vrai délice visuel. le scénariste mène le récit à son terme, tout en continuant de concevoir de belles scènes pour que l'artiste puisse s'exprimer. Il faut voir la force avec laquelle Hache-Pierre transperce son morceau de viande avec un couteau de belle taille, le duel à l'arme blanche dans l'eau de l'océan, les corps qui se balancent au bout de la potence, le combat horrible contre la harpie dans la cuisine du château, le duel au flambeau ou encore l'arrivée des démunis dans un dessin en pleine page. Un régal du début à la fin.

Comme pour le tome précédent, le lecteur constate que le scénariste gère le rythme de sa narration en fonction des séquences qu'il souhaite développer. Il ne dispose pas de la pagination pour décrire une guerre sur une longue durée, et il fait usage d'ellipses en conséquence. Cela peut éventuellement frustrer un lecteur qui serait venu pour ça, mais le coeur du récit réside ailleurs. Tous les fils narratifs sont menés à leur terme : l'issue de la guerre entre les humains et les bêtes de haute et de basse tailles, la relation romantique entre Aube et Clam, le sort du saigneur Arcan, le devenir des harpies et des autres créatures qui s'abritaient dans le bois des Vierges, sans oublier la dualité du seigneur Clam partagé entre ses deux natures, homme et loup. Éventuellement, le lecteur peut se retrouver un peu désarçonné par l'union d'Aube et de Clam (Sont-ils vraiment biologiquement compatibles ?), par la forme de pardon accordé à Aube (Initialement, c'est à la suite de son crime, avec son frère Salviat que la guerre a été déclarée), ou encore par le fait (uniquement mentionné dans les dialogues) que le clan des ours se pliera à la décision du clan des loups et de ses alliés.

Toutefois, le lecteur sent bien que le scénariste ne se focalise pas sur les mécanismes de la guerre, sur les batailles ou les alliances, ou encore les rapports de force. Il perçoit que le déroulement du récit se consacre régulièrement à des face-à-face, dans lesquels s'incarnent les batailles, les oppositions. Un loup tue le plus grand humain tueur de loups : le clan des loups vient de faire un exemple, on ne se livre pas à la chasse aux loups pour enrichir sa collection de trophée. le lynx se retrouve en tant que représentant de la coalition des bêtes : tous les individus ne sont pas destinés à devenir des guerriers sur un champ de bataille, il y a besoin d'autres compétences. Puis, son esprit s'arrête sur une phrase au passage, par exemple, le prince des Armures qui fait le constat qu'ils sont en train de détruire, ce pays, de consumer ses énergies vitales. Il se produit un effet d'écho avec la propension de la race humaine à détruire son environnement, à se goinfrer de ressources qui n'ont plus le temps de se renouveler, à rendre inhabitable sa seule et unique planète. Un autre personnage parvient à la conclusion suivante : Il faut que cesse ce désordre, il faut que les contraires s'unissent. Seigneur Clam incarne à lui tout seul cette problématique, étant à moitié homme, à moitié loup. Il ne peut envisager un avenir viable que s'il se montre capable de concilier ses deux natures, de parvenir à unir ses propres contraires. le clan des ours rêve d'un monde où les humains auront été exterminés jusqu'au dernier, où les peuple de basse et haute tailles habiteront seuls le monde, et peut-être à terme sous la gouvernance des ours, c'est-à-dire un rêve d'épuration. L'incarnation la plus extrémiste de cette logique prend la forme des harpies dont le mode de vie est de détruire, déchiqueter, tuer. En face, les deux héros décident de se rendre aux ours pour établir un dialogue. Dans cette optique, le pardon accordé à Aube dans l'assassinat de Loup-de-Feu fait sens : briser la spirale de la vengeance, de l'escalade des hostilités. L'épilogue vient confirmer ce thème majeur du récit : la société doit organiser et préserver une place pour les réprouvés, les impurs, les sang-mêlés, les métis et tous ceux qui ne correspondent pas à une norme sociale bien définie.

Une narration visuelle toujours aussi exquise, impliquée, splendide, un voyage inoubliable et des individus remarquables. Un scénario qui semble emprunter des voies un peu faciles, des raccourcis, et des décisions bien pratiques. Toutefois, prise dans son ensemble, l'intrigue aboutit à une remarquable fable sur le droit à la différence, le besoin de l'accueillir, de la préserver, de lui offrir les conditions nécessaires à son épanouissement, de la chérir. En chaque bête vivrait un homme. En chaque homme vivrait une bête.
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La guerre est toujours aussi vive mais Bêtes semblent prendre l'ascendant sur L'homme. Et chez le seigneur Clam, déchiré entre sa double nature, en sera-t-il autant? L'amour entre lui et Aube pourra-t-il offrir la paix que sa haine avait déclenché?

Une très jolie fin pour ce triptyque qui prône l'acceptation des différences et le respect des uns envers les autres même si les allures ou les coutumes ne sont pas semblables.
Une fin un peu fleur bleue qui m'a semblé un poil facile tout de même. Les rois de chaque coté acceptent bien vite la paix juste parce qu'une humaine a aimé un loup. Mais ne boudons pas notre plaisir devant ce très joli conte.
Un univers qu'à parfaitement magnifié la talentueuse Béatrice Tillier qui a su animé les visages des humains tout autant que celles des bêtes. Bravo, un beau travail!
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Après le pas de côté du tome 2, centré sur le couple du seigneur Clam et d'Aube qui, enfermés dans le bois des vierges, finissent par se trouver, retour à la guerre entre humains et bêtes. Elle se poursuit, avec Loup Gris qui venge son père, mais les deux camps sont lassés des carnages. C'est dans ces conditions qu'Aube et le seigneur Clam, rescapés du bois des vierges et forts d'arguments connus d'eux seuls, se manifestent pour proposer de restaurer le pacte jadis rompu en unissant enfin poils et peau. Leur entreprise, risquée, sera-t-elle couronnée de succès ?

« Epousailles » conclut de belle manière un récit toujours aussi rythmé, où les figures d'Aube et de l'atypique seigneur Clam, personnages dont les caractères et l'évolution ne manquent pas d'intérêt, occupent le devant de la scène.

Une chouette trilogie, servie par le graphisme de Béatrice Tellier, qui a légèrement changé dans ce dernier tome : les couleurs y sont davantage saturées, les ancrages des contours plus marqués, ce qui donne, au final, un rendu plus contrasté (moins « ligne claire » que les deux volumes précédents) et très adapté à la tonalité de l'album.

Challenge multi-auteures SFFF.
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J'avais peut-être tellement d'attente par cette série qu'à la fin je suis un peu déçue.
Si la guerre est intéressante avec un questionnement qu'on peut aussi se faire sur notre civilisation, la résolution est un peu facile et visible de loin. Un peu gniangnian aussi. Je m'attendais aussi plus à un rôle important pour le bois des vierges et à sa population fantastique. de même je me demande le rôle réel de Hugo. Qui a plus servi de narrateur qu'autre chose.
La lecture est agréable et facile. Rehaussée par le visuel des dessins de Béatrice Tillier toujours très beaux.
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« le bois des vierges » termine son histoire avec ce troisième tome intitulé « Épousailles ». Dommage que les auteurs spoilent leur histoire (surtout avec la couverture)… Cette histoire fantastique où chimères, animaux et hommes se combattent les uns les autres avait marqué par son histoire dense et son graphisme magnifique. Cette trilogie se termine-t-elle sur une bonne note ?

Nous avions laissé le bois des vierges en flammes et les factions animales et humaines en guerre. Première surprise, le lien entre les deux tomes semble brisé. Alors que le deuxième tome faisait la part belle aux créatures hybrides, prêtes à se lancer sur le monde, elles disparaissent quasiment de l'histoire. Ainsi, la montée en puissance des enjeux, avec le tome 2, est tué dans l'oeuf. C'est incompréhensible !

Hélas, l'histoire fait du surplace. Finalement, les enjeux se résolvent de façon convenue et prévisible, rendant la lecture peu passionnante. L'ensemble est toujours aussi bavard, mais sans surprise ni découverte, cette densité devient un défaut. Ainsi, l'intégration des ours dans la bataille reste trop légère et peu développée (beaucoup moins que le rôle des lynx par exemple). le tout se referme comme un conte, plus que comme une lecture de fantasy.

Au départ créé sur une opposition de camps rivaux, « le bois des vierges » a rapidement dérivé sur une histoire d'amour, symbole de l'acceptation de l'autre. Ce romantisme était plutôt bien traité dans le deuxième tome, où les chimères jouaient un rôle important. Ce troisième tome apporte une redondance dans ce thème, de même que dans les enjeux de la guerre. Finalement, on en revient au début : il faut qu'Aube répare se faute en se mariant à un loup.

Le dessin de Béatrice Tillier reste un enchantement pour les yeux. Au-delà du trait pur, les planches sont admirablement construites. Cependant, ce tome lui donne moins de possibilité de briller dans les couleurs, peut-être moins marquantes. Alors que la dessinatrice jouait beaucoup sur les oppositions entre couleurs chaudes et froides, elle produit plus de pages richement colorées ici.

Ce troisième tome est une véritable déception. Non pas qu'il soit mauvais intrinsèquement, mais les deux premiers opus proposaient leurs lots de surprises et de suspense. Cette conclusion convenue met de côté de nombreux aspects et n'emballe pas vraiment. Quel dommage !

Lien : http://blogbrother.fr/bois-v..
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critiques presse (3)
Elbakin.net
21 février 2014
Ce tome 3 clôture parfaitement une série certes courte, mais admirablement ciselée par deux maîtres orfèvres qui expriment ici tout leur talent.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Sceneario
14 mai 2013
Le Bois des Vierges séduit par son audace et son flamboiement. Dufaux ne craint pas le ridicule, très vite le lyrisme sourd et sombre de son conte pour adulte emporte même les sceptiques.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
07 mai 2013
Luxuriance des décors, profusion des ornements, magnificence des costumes Renaissance, autant d’atours flattant l’œil du lecteur. Se retrouve également cet encrage fin et précis, détaillant les premiers plans, tandis que les figures lointaines sont simplement crayonnées, amplifiant l’effet de perspective.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
En cette nuit d’automne, les loups attaquèrent le château de Hache-Pierre par la mer. La sombre bâtisse tombait déjà en ruine, aucun gardien n’était à signaler sur les remparts. Les loups escaladèrent les pierres, les rochers, en silence, avec des mouvements furtifs, le poing serré sur la dague ou l’épée. À leur tête se trouve Loup-Gris. Il vient chercher quelque chose qui lui tient à cœur. Mais il ignore encore qu’il lui faudra affronter une image bien cruelle. De celles qu’adressent les hommes aux bêtes qui les entourent.
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Nous sommes en train de détruire ce pays, de consommer ses énergies vitales. Le bois des Vierges était ce territoire qui permettait d’exprimer notre générosité, notre pardon des fautes. Là résidait un équilibre, certes fragiles, entre des forces antagonistes. Là pouvait se réfugier ce qui était différent, dérangeant pour nos bonnes mœurs. Là vivait un compromis acceptable pour tous. Il semble que ce compromis ait été rompu. Les puissances imbéciles et destructrices qui se sont étendues sur notre pauvre pays ont frappé ces bois qui appartenaient à notre pauvre mémoire. Il n’y a pas de quoi en être fier.
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-Vous connaissez tous mes secrets à présent.
-Je n'aurai pas cette naïveté. L'on ne connait jamais tous les secrets d'une femme. et c'est bien ainsi.
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Des années que je tente d’effacer l’opprobre, l’ignominie qui entache mon nom. Des années que je coupe des têtes qui repoussent sans cesse en moi. Mais cela va peut-être changer. Je crois que je suis en mesure, à présent, d’accepter qui je suis. Et partant, d’accepter ce que sont les autres.
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Et ce fut la fête ! Grande fête qui dura tard dans la nuit ! On sentait la victoire proche, les humains reculaient de partout dans le pays, on allait enfin se débarrasser de leur présence pestilentielle.
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Vidéo de Jean Dufaux
Murena est une série de bande dessinée historique belge écrite par Jean Dufaux et dessinée par Philippe Delaby puis Theo. La narration décrit le règne de l'empereur Néron dans la Rome antique de 54 à 68 et, en parallèle, l'évolution du héros éponyme, Lucius Murena. La série est éditée par Dargaud depuis 1997. L'histoire se déroule dans la Rome antique, au Ier siècle, sous le règne des empereurs Claude puis Néron. Claude exprime des remords d'avoir négligé son fils biologique Britannicus au profit de son fils adoptif, Néron. de plus, il regrette d'avoir épousé Agrippine et il envisage de la répudier, car il souhaite se marier avec son amante Lollia Paulina. Devant cette double menace, l'impératrice intrigue pour assassiner sa rivale, avec l'accord passif de Néron. Or, Néron est ami avec Lucius Murena, fils de Lollia Paulina et héros éponyme de la série. Agrippine, par ailleurs, sollicite Locuste pour empoisonner Claude et installer Néron sur le trône. le récit met en parallèle l'évolution de Néron et celle de Lucius Murena, qui basculent progressivement dans la folie.
À la suite de l'assassinat de Claude, Néron monte sur le trône. Britannicus meurt à son tour dans des circonstances troubles et la rumeur attribue ce nouveau décès à Néron ; ce dernier devient la proie d'une folie, réelle ou supposée, qui le consume. À travers ces épisodes, nous voyons comment Néron sombre dans la cruauté, par un concours de circonstances, un jeu de manipulation et de vengeance…

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