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Critique de Eric76


Un troisième tome où tout le monde retient son souffle.
Néron, plus populaire et ondoyant que jamais !
Agrippine, toxique, manipulatrice, et vipérine à souhait !
Les serviteurs, les affidés, les courtisans, inquiets, tourmentés, flairent l'odeur du sang et naviguent entre la mère et le fils qui se regardent en chien de faïence. La guerre ouverte n'est pas encore déclarée entre eux, mais tout le monde la sent poindre, comme l'orage qui gronde à l'horizon.
Néron vit un drame en attendant ! Lui qui se rêve au-dessus des hommes, à l'ombre des Dieux, doit entrer dans l'arène pour faire un choix cornélien entre sa mère par le coeur, Domitia l'aimante, et sa mère par la tête, la terrifiante Agrippine. Est-il besoin de préciser laquelle des deux va l'emporter ?
Un tome où les morts n'ont pas dit leur dernier mot. La vengeance posthume de Britannicus ; la dernière pensée de Pallas qui va à la belle et troublante Acté ; la prédiction funeste de Locuste…
L'histoire s'achève par l'entrée en scène discrète de la nocive et sublime Poppée, bien décidée à jeter son dévolu sur le jeune Empereur.
Un tome où l'expression « Malheur aux vaincus ! » prend tout son sens.
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