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Critique de umezzu


Alors que Néron tombe sous l'emprise de Poppée, son entourage devient de plus en plus ambitieux. Tigellin devient son conseiller, âme damnée inspiratrice des pires impulsions. Néron voit son ego de dieu vivant fortement atteint lorsque dans une course de chars, contrairement à l'habitude qui voulait qu'on le laisse gagner, une femme masquée l'emporte. Elle pousse l'affront jusqu'à revendiquer sa victoire : « Souviens toi de Britannicus ». Une chasse à la .. femme s'engage, menée par le gladiateur Massam au service de Poppée. Poppée qui détruit le couple que formaient Murena et Acté, l'ancienne favorite de l'empereur, en susurrant à Néron que nul ne peut prétendre passer après un dieu.
Néron dans ce tome abandonne la vie des hommes pour se rêver en dieu, décidant du sort des uns et des autres à son gré. Les bases de sa folie guettent. Il abandonne ceux qui le maintenaient à la raison pour suivre les avis de ceux qui par flatterie le poussent dans ses lubies.
Les dessins de ce tome rendent (comme toujours) hommage à Rome et à ses constructions, riches ou pauvres. le grand moment étant la course de char détaillée et expliquée par les auteurs. Les notes de fin d'ouvrage sont captivantes.
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