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Critique de Diabolau
Des histoires vraies et méconnues sur la première guerre mondiale, il n'y en a plus forcément des masses, et cette BD a le mérite de nous en raconter une. Personnage haut en couleurs que ce capitaine Moufflet, dont on lit l'histoire passionnante en fin de volume (petit bémol : on ne nous explique pas comment il s'est évadé de l'hôpital allemand, et si la version de l'album a un fond de vérité), et rebaptisé Moufflot pour l'occasion, une sorte d'aventurier acharné et jusqu'au boutiste décidé à montrer que la solution pour le champ de bataille des Vosges, c'est le chien de traîneau.
Le scénario est plutôt bien foutu, les personnages sympathiques et bien caractérisés, notamment Moufflot, sa femme, et le général avec ses manies d'exiger des excuses de tout le monde. Malgré une ou deux petites incompréhensions par endroit, la narration se déroule plutôt bien.
Malheureusement, je n'aime pas du tout ce style de dessin pseudo-naïf, je trouve qu'il y a des planches entières qui font bâclées, et par endroits, les couleurs sont franchement horribles (voir notamment la scène avec les civils qui essaient de récupérer le marché).
En gros, pour moi une très bonne idée à exploiter, un scénario solide, mais des dessins qui gâchent tout.
Le scénario est plutôt bien foutu, les personnages sympathiques et bien caractérisés, notamment Moufflot, sa femme, et le général avec ses manies d'exiger des excuses de tout le monde. Malgré une ou deux petites incompréhensions par endroit, la narration se déroule plutôt bien.
Malheureusement, je n'aime pas du tout ce style de dessin pseudo-naïf, je trouve qu'il y a des planches entières qui font bâclées, et par endroits, les couleurs sont franchement horribles (voir notamment la scène avec les civils qui essaient de récupérer le marché).
En gros, pour moi une très bonne idée à exploiter, un scénario solide, mais des dessins qui gâchent tout.
