Sortez les tomates pourries, je n'ai pas aimé.
Bien sûr , l'histoire est poignante, qui aurait le coeur assez sec pour ne pas en être (très) ému ? Malheureusement, une bande dessinée, c'est aussi du dessin, et là , hormis un graphisme publicitaire terriblement figé (rythme binaire : ondulations / pas ondulations) et qui aurait pu sortir des algorithmes d'un ordinateur, je ne vois pas où est l'exploit.
Si je respecte la douleur de son auteur, dont on sent parfaitement l'authenticité, et la nécessité de sa promesse faite à Kristen, je vois surtout qu'on décerne un prix à une bd- témoignage au graphisme cruellement banal, au détriment d'autres oeuvres magnifiques, et surtout magnifiquement rejetées dans l'ombre.
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