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Critique de Lunalithe
L'entrée en matière de ce roman, plutôt grandiose, annonce un roman moins hard-science qu'on aurait pu croire.
On suit l'évolution passionnante d'une entité qui se construit, qui évolue et qui apprend - et qui absorbe et tue. En parallèle, Evangeline doit survivre au milieu d'une ruche, et s'emploie alors à devenir la Reine.
Le récit oscille donc entre l'atmosphère glaciale de l'espace, et la moiteur humide de la ruche d'Evangeline, qu'elle marque de ses fluides.
Au delà de ce contexte, on assiste surtout à l'évolution, à l'apprentissage et à l'adaptation des êtres - humains, mais pas que...
Un très troublant roman, dont la conclusion m'a tout simplement ravie !
On suit l'évolution passionnante d'une entité qui se construit, qui évolue et qui apprend - et qui absorbe et tue. En parallèle, Evangeline doit survivre au milieu d'une ruche, et s'emploie alors à devenir la Reine.
Le récit oscille donc entre l'atmosphère glaciale de l'espace, et la moiteur humide de la ruche d'Evangeline, qu'elle marque de ses fluides.
Au delà de ce contexte, on assiste surtout à l'évolution, à l'apprentissage et à l'adaptation des êtres - humains, mais pas que...
Un très troublant roman, dont la conclusion m'a tout simplement ravie !
