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Critique de ASAI
Quel magnifique album. Les dessins sont fabuleux, au sens littéral, ils sont colorés, ils sont drôles, ils sont magiques.
Quant à l'histoire d'Ernesto, c'est à se plier de rire.
Ernesto ne veut plus aller à l'école car il y apprend ce qu'il ne sait pas.
S'en suivent des dialogues entre les parents, le directeur de l'école, le maître, et Ernesto lui-même, totalement à l'envers, drôlatique, un monde absurde, qui, de mon point de vue, montre l'absence de dialogue, le mur d'incompréhension entre non seulement les parents et l''école, mais aussi et surtout entre l'enfant Ernesto et le monde adulte, celui de l'école, et dramatiquement celui de ses propres parents.
J'adore lorsque la mère d'Ernesto dit "et j'en ai sept et j'en ai marre". C'est à la fois pathétique, tragique, lyrique, burlesque, presque comique. Elle parle de ses enfants, pour les sept.
Et Ernesto se débat dans ce monde lui-même absurde. Et a décidé d'apprendre sans ce monde-là.
C'est joyeux, coloré, jouissif, plein d'humour et d'amour.
Quant à l'histoire d'Ernesto, c'est à se plier de rire.
Ernesto ne veut plus aller à l'école car il y apprend ce qu'il ne sait pas.
S'en suivent des dialogues entre les parents, le directeur de l'école, le maître, et Ernesto lui-même, totalement à l'envers, drôlatique, un monde absurde, qui, de mon point de vue, montre l'absence de dialogue, le mur d'incompréhension entre non seulement les parents et l''école, mais aussi et surtout entre l'enfant Ernesto et le monde adulte, celui de l'école, et dramatiquement celui de ses propres parents.
J'adore lorsque la mère d'Ernesto dit "et j'en ai sept et j'en ai marre". C'est à la fois pathétique, tragique, lyrique, burlesque, presque comique. Elle parle de ses enfants, pour les sept.
Et Ernesto se débat dans ce monde lui-même absurde. Et a décidé d'apprendre sans ce monde-là.
C'est joyeux, coloré, jouissif, plein d'humour et d'amour.
