« Je dois vous ennuyer. J’ai lassé un peu de monde, vous savez. / J’ai la patience des statues. » (p. 32)
- Vous êtes un rêve. Ils ne pourraient pas vous voir.
- Mais vous, vous pouvez me toucher.
- ça ne lasse jamais, Fragonard, n'est ce pas ?
- Jamais !
- Ah ! "Le verrou" ! Vous savez à qui il ferme la porte, ce fougueux amant ?
- A qui ?
- Aux deux siècles de puritannisme qui s'annoncent après eux ! Il protège leur volupté.
L'émerveillement comble votre curiosité en lui imposant l'absolu enchantement.
Une jeune femme de votre âge connaît Montesquieu ?
Vous n'avez pas le privilège du beau siècle, monseigneur.
C'est sûr, le XVIII e, c'est autre chose que Napoléon-le-puritain ...
Il y a trop d'images ici. Trop de belles choses. C'est presque étouffant. Tant de belles choses. Je fais un tri... J'en choisis une... Et je fais le noir avec mes mains... Quand je les ouvre, je ne vois plus ce que j'ai choisi.
- "Le vin, par la joie qu'il inspire, favorise l'intempérance et, nous ramenant insensiblement vers lui-même, fait renaître nos débauches ou, du moins, notre goût."
- Une jeune femme de votre âge connaît Montesquieu ?
- Vous n'avez pas le privilège du beau siècle, Monseigneur.
« Notre paire est assez improbable. / Pour eux, seulement pour eux. / Vous êtes un rêve, ils ne pourraient pas vous voir. » (p. 40)
« Je suis à un âge où c’est un devoir de ne plus dîner en aussi piètre compagnie. » (p. 19)
Le vin, par la joie qu'il inspire, favorise l'intempérance et, nous ramenant insensiblement vers lui-même, fait renaître nos débauches ou, du moins, notre goût.