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Critique de Goudal
Qui est Marc Eichinger ? Ex Trader, agent secret, guerrier,Marc Eichinger est l'homme qui a mis au jour les relations entre la société Uramin et Areva.
Vu sur le Média interviewé par Denis Robert, j'ai lu son bouquin.
D'abord dérouté par le récit de bouts d'histoire, on ne comprend pas tout de suite ou il veut en venir. Puis vient l'affaire Uramin qui permet de raccrocher les morceaux, les noms (de truands en col blanc) et de sociétés bidons reviennent. On commence à comprendre comment ça marche. Facile de monter une société minière sans mine. Facile de faire monter artificiellement l'action. Facile de la revendre à un pigeon : il suffit d'aller chez Atomic Anne (Lauvergeon). Puis les affaires s'enchainent. On fait le tour du monde : Afrique bien-sûr du nord au sud, Asie, Europe centrale, Amérique. Des dizaines d'affaires mais toujours le même pigeon. C'est hallucinant. Au final, les factures se comptent en milliards. Et l'état ne bouge pas, il continue de soutenir, de recapitaliser pour une entreprise ORANO (nouveau nom d'AREVA) qui a déjà tout bouffé et qui court vers la faillite. C'est la déconfiture totale du nucléaire français qui s'obstine dans une solution qui n'en est déjà plus une.
Une autre raison essentielle d'être anti-nucléaire.
Vu sur le Média interviewé par Denis Robert, j'ai lu son bouquin.
D'abord dérouté par le récit de bouts d'histoire, on ne comprend pas tout de suite ou il veut en venir. Puis vient l'affaire Uramin qui permet de raccrocher les morceaux, les noms (de truands en col blanc) et de sociétés bidons reviennent. On commence à comprendre comment ça marche. Facile de monter une société minière sans mine. Facile de faire monter artificiellement l'action. Facile de la revendre à un pigeon : il suffit d'aller chez Atomic Anne (Lauvergeon). Puis les affaires s'enchainent. On fait le tour du monde : Afrique bien-sûr du nord au sud, Asie, Europe centrale, Amérique. Des dizaines d'affaires mais toujours le même pigeon. C'est hallucinant. Au final, les factures se comptent en milliards. Et l'état ne bouge pas, il continue de soutenir, de recapitaliser pour une entreprise ORANO (nouveau nom d'AREVA) qui a déjà tout bouffé et qui court vers la faillite. C'est la déconfiture totale du nucléaire français qui s'obstine dans une solution qui n'en est déjà plus une.
Une autre raison essentielle d'être anti-nucléaire.
