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Critique de Nymphea
Ma note pour ce livre se situerait plutôt à 3,5/5 mais comme il est impossible de mettre ça, j'ai préféré mettre 3 plutôt que 4 car pour moi, 4 c'est trop. Explications.
Parlons tout d'abord de la première chose qui me vient à l'esprit : la couverture. On ne peut pas dire que le titre soit original ; bon c'est vrai, vous allez me dire que ce n'est pas le titre qui fait un bon livre, mais si un titre est bon, ça veut déjà (presque) tout dire sur le contenu ! En anglais, le livre s'appelle « Wild cards » (pour les ignorants, ça veut dire « joker ») et je le trouve plus original. Le style américain de l'ensemble ne me plaît pas trop, même si je sais qu'il y a une raison : l'histoire tourne autour du football américain, sport qui ne m'attire absolument pas. Il n'y a pas besoin d'être une lumière pour comprendre dès le premier regard qu'il s'agit d'une histoire d'amour. Un gars et une fille sont à deux doigts de s'embrasser... déjà-vu.
Cessons de parler de la couverture et mettons-nous au travail : l'histoire. Quand on connaît Simone Elkeles (moi qui ai déjà lu tous ses livres précédents, je sais de quoi je parle), on n'a pas besoin de finir le livre pour déjà savoir ce qu'il va se passer. Je suis habituée aux pensées des personnages, ce sont toujours les mêmes, avec les mêmes buts et un nom différent seulement.
- Derek : beau gosse (les abdos, le visage etc. c'est bon à la fin ! J'ai pas réussi à l'imaginer correctement tellement il était stéréotypé) et surtout SURTOUT, on couche à droite à gauche et puis là ça y est, il rencontre Ashtyn qui ne lui donne subitement plus envie des coups d'un soir. Déjà-vuuuuu.
- Ashtyn, quant à elle, Simone Elkeles à chercher à la différencier des autres en lui collant une étiquette de garçon manqué, mais c'est raté : elle est assez quelconque, avec encore et toujours les mêmes hésitations que les autres.
- Il y a aussi Landon, LE mec jaloux/con/lâche cliché de ces livres...
Vous l'aurez donc compris, les personnages ne brillent pas par leur originalité - tout comme l'histoire, d'ailleurs. Mais comme d'habitude, j'ai apprécie certains personnages secondaires comme Monika, Trey, Jet ou encore Vic, qui je pense ne sont pas assez intervenus au cours du roman.
L'intrigue... basique des romans de ce genre. En toute honnêteté, je pense avoir trop lu de romans de l'auteure, car je l'ai toujours trouvé bien mais un défaut majeur a fait baissé la note de ce livre : c'est TOUJOURS la même chose ! Que ce soit dans la série des Irréstible ou encore de Paradise, on change juste de contexte mais ça reste identique. A la fin, ça devient lassant mais...
J'ai envie de dire (éternelle insatisfaite que je suis !) que c'est aussi bien. Parce que rien qu'en commençant le livre, on sait que ça va bien se terminer, donc ça détend, on est rassuré et quelques fois ça fait du bien les happy-end. Chacun des protagonistes a des relations familiales difficiles et celles qui m'ont le plus touchée sont celles d'Ashtyn envers son père. On ne peut pas dire qu'il n'y a que des défauts à ce tome (loin de là !), c'est une vraie détente, ça se lit vite, ça fait du bien, il y a de l'amour et c'est TOUT ce à quoi il est destiné. Raaah, maintenant que je dis ça, j'ai envie de mettre 4... Non non non, 4 c'est trop, ça voudrait dire que c'est bien ! Alors que l'inoriginalité (non, ce mot n'existe pas) m'a trop énervée.
Je terminerai cette critique par une petite conclusion : pour tous les fan de Simone Elkeles, allez-y, lisez. Ne vous attendez pas à de la grande littérature, mais à une lecture relax. Je pense que je vais désormais m'orienter vers un livre plus fantastique, car je commence à en avoir marre de lire des livres avec uniquement de l'amour dedans... et très peu de rebondissements.
Parlons tout d'abord de la première chose qui me vient à l'esprit : la couverture. On ne peut pas dire que le titre soit original ; bon c'est vrai, vous allez me dire que ce n'est pas le titre qui fait un bon livre, mais si un titre est bon, ça veut déjà (presque) tout dire sur le contenu ! En anglais, le livre s'appelle « Wild cards » (pour les ignorants, ça veut dire « joker ») et je le trouve plus original. Le style américain de l'ensemble ne me plaît pas trop, même si je sais qu'il y a une raison : l'histoire tourne autour du football américain, sport qui ne m'attire absolument pas. Il n'y a pas besoin d'être une lumière pour comprendre dès le premier regard qu'il s'agit d'une histoire d'amour. Un gars et une fille sont à deux doigts de s'embrasser... déjà-vu.
Cessons de parler de la couverture et mettons-nous au travail : l'histoire. Quand on connaît Simone Elkeles (moi qui ai déjà lu tous ses livres précédents, je sais de quoi je parle), on n'a pas besoin de finir le livre pour déjà savoir ce qu'il va se passer. Je suis habituée aux pensées des personnages, ce sont toujours les mêmes, avec les mêmes buts et un nom différent seulement.
- Derek : beau gosse (les abdos, le visage etc. c'est bon à la fin ! J'ai pas réussi à l'imaginer correctement tellement il était stéréotypé) et surtout SURTOUT, on couche à droite à gauche et puis là ça y est, il rencontre Ashtyn qui ne lui donne subitement plus envie des coups d'un soir. Déjà-vuuuuu.
- Ashtyn, quant à elle, Simone Elkeles à chercher à la différencier des autres en lui collant une étiquette de garçon manqué, mais c'est raté : elle est assez quelconque, avec encore et toujours les mêmes hésitations que les autres.
- Il y a aussi Landon, LE mec jaloux/con/lâche cliché de ces livres...
Vous l'aurez donc compris, les personnages ne brillent pas par leur originalité - tout comme l'histoire, d'ailleurs. Mais comme d'habitude, j'ai apprécie certains personnages secondaires comme Monika, Trey, Jet ou encore Vic, qui je pense ne sont pas assez intervenus au cours du roman.
L'intrigue... basique des romans de ce genre. En toute honnêteté, je pense avoir trop lu de romans de l'auteure, car je l'ai toujours trouvé bien mais un défaut majeur a fait baissé la note de ce livre : c'est TOUJOURS la même chose ! Que ce soit dans la série des Irréstible ou encore de Paradise, on change juste de contexte mais ça reste identique. A la fin, ça devient lassant mais...
J'ai envie de dire (éternelle insatisfaite que je suis !) que c'est aussi bien. Parce que rien qu'en commençant le livre, on sait que ça va bien se terminer, donc ça détend, on est rassuré et quelques fois ça fait du bien les happy-end. Chacun des protagonistes a des relations familiales difficiles et celles qui m'ont le plus touchée sont celles d'Ashtyn envers son père. On ne peut pas dire qu'il n'y a que des défauts à ce tome (loin de là !), c'est une vraie détente, ça se lit vite, ça fait du bien, il y a de l'amour et c'est TOUT ce à quoi il est destiné. Raaah, maintenant que je dis ça, j'ai envie de mettre 4... Non non non, 4 c'est trop, ça voudrait dire que c'est bien ! Alors que l'inoriginalité (non, ce mot n'existe pas) m'a trop énervée.
Je terminerai cette critique par une petite conclusion : pour tous les fan de Simone Elkeles, allez-y, lisez. Ne vous attendez pas à de la grande littérature, mais à une lecture relax. Je pense que je vais désormais m'orienter vers un livre plus fantastique, car je commence à en avoir marre de lire des livres avec uniquement de l'amour dedans... et très peu de rebondissements.
