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Critique de Verdorie


Il y a 23 ans naquirent dans le sud de l'Angleterre et exactement au même moment, douze enfants à la peau très blanche et aux yeux étranges...
Dix-sept ans après, ces jeunes ont participé à la perte de "notre" monde (on n'apprend ni comment, ni pourquoi, dans ce 1e tome).
Dans un Londres post-apocalyptique, à moitié sous l'eau, les douze se sont regroupés dans un quartier de Whitechapel sous le nom de Freak Angels où ils essayent tant bien que mal d'aider à reconstruire une communauté avec quelques survivants du "Clash"
Le groupe a forcé, Mark -devenu incontrôlable - à partir. Les autres, aux caractères très différents et parfois diamétralement opposés (d'où bagarres, chamailleries et autres jolis petits mots) restent en contact entre eux par télépathie, dont ils usent et abusent.
Mais Mark s'est immiscé dans la tête d'une jeune fille qu'il a envoyé comme tueuse ; les onze Angels craignent qu'il n'en restera pas là.


Je suis fan de "Les coucous de Midwich" de John Wyndham et la couverture de cette BD m'y a immédiatement fait penser. Mais outre cette ressemblance avec les "enfants" de Wyndham (nés au même moment, peau pâle, yeux étranges, télépathes), le scénario de Warren Ellis diffère en tout.
Dans ce 1e volume (sur les six de prévues), on fait la connaissance de neuf Freak Angels ; ma préférence va vers Arkady, ancienne junkie, douce rêveuse qui porte bien son prénom. Mignonne avec sa tête toute chauve et son style de vêtements, que j'aime bien (Ben quoi, je suis une femme, je fais attention à ce genre de détails !)
Les dessins aux traits nets et précis permettent d'apprécier les détails, justement, ainsi que les expressions faciales et corporelles de chaque personnage.
C'est avec un réel plaisir que j'ai pris mon temps pour lire et regarder cet album.
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