De l'argent, beaucoup d'argent. de l'alcool, beaucoup d'alcool, du sexe, beaucoup de sexe. Des drogues, beaucoup de drogues: des excitants, des tranquilisants, des assomants...Los Angeles des années 80. C'est le portrait noir, très noir d'une époque, d'une société avec l'essence même de Breat Easton Ellis dont on reconnait le ton. Ici, le vide, beaucoup de vide. 13 narrateurs différents ne nous racontent rien. Ha oui , leur vie. Vide. On ne peut même pas dire qu'ils gachent leur vie, ils ne vivent rien, ne sentent rien, ne ressentent rien. Néant. Anesthésiés, blasés, inutiles, ils sont. Déprimant.
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