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Critique de carnet-de-voyage
L'étau se resserre sur Hopkins...
Ses supérieurs veulent sa peau, ou pour mettre un peu plus de forme dans les propos : le mettre en retraite...
Hopkins n'a toujours pas récupéré sa femme et ses trois filles...
Hopkins sent aussi qu'il vieillit, que Los Angeles l'étouffe....Sa violence n'est plus aussi "violente" qu'à ses débuts, même si sa haine contre le crime ait toujours intacte...
Ce sont avec des braqueurs de banques et une pute flamboyante aux reins aussi souples que les amortisseurs d'une Mercedes (vous comprendrez pourquoi je dis ça : elle inspire le respect !) qu'Ellroy va clore la trilogie Hopkins, en lui accordant un repos enfin mérité...
Il faudra plusieurs pages, plusieurs morts pour comprendre le pourquoi du titre.....
Pour moi, le meilleur de la trilogie
Ses supérieurs veulent sa peau, ou pour mettre un peu plus de forme dans les propos : le mettre en retraite...
Hopkins n'a toujours pas récupéré sa femme et ses trois filles...
Hopkins sent aussi qu'il vieillit, que Los Angeles l'étouffe....Sa violence n'est plus aussi "violente" qu'à ses débuts, même si sa haine contre le crime ait toujours intacte...
Ce sont avec des braqueurs de banques et une pute flamboyante aux reins aussi souples que les amortisseurs d'une Mercedes (vous comprendrez pourquoi je dis ça : elle inspire le respect !) qu'Ellroy va clore la trilogie Hopkins, en lui accordant un repos enfin mérité...
Il faudra plusieurs pages, plusieurs morts pour comprendre le pourquoi du titre.....
Pour moi, le meilleur de la trilogie
