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Critique de mamary57
Ce roman fait partie des meilleurs romans que j'ai pu lire en 2023, bon on est qu'au quatrième mois de l'année mais il n'est pas loin du coup de coeur. Dans ce roman c'est question d'harcèlement, de torture, de conséquences et surtout de pardon. Rien ne pourra excuser l'attitude de Mads Mann, rien ne pardonnera le mal qu'il a infligé mais on peut compatir à sa douleur, à son passé qui a détruit son innocence et fait de lui l'adolescent mal dans sa peau.
Toute la scolarité de Mackenzie était une torture, elle a subi les insultes de ses camarades, l'indifférence de ses parents qui n'ont pas un métier des plus communs, mais heureusement elle pouvait compter sur sa tante et sa cousine qui ont toujours été présente pour elle. Elle a trouvé refuge dans l'art, la sculpture est ce qui lui permettait de canaliser sa colère, de se fermer dans une bulle où seul ses créations prenaient vies. Son seul souhait était de d'enfin parti loin de ce calvaire quotidien. L'université était sa porte de sortie, elle qui aller pouvoir allier sa passion et son avenir en étudiant l'art et intégrant le HangArt, là où toutes formes de talent se côtoient. Ce qu'elle ne savait pas en revanche, c'était que son pire ennemi allait faire partie du tableau. Mack a grandi, elle a évolué et ne compte pas se renfermer sur elle-même et encore moins par Mads, il n'aura pas à avoir prise sur son esprit et pour ça elle compte bien lui rendre coup pour coup.
Mads est un homme empli de rancoeur, son enfance m'a bouleversé, je ne souhaite cela à personne et même pas à mon pire ennemi. Grâce aux flash-backs de son passé, on va en apprendre plus sur ce qui nous bouleversera. Lui aussi a dû trouver un moyen de canaliser ses peurs, d'extérioriser ses craintes et le mal qui le ronge depuis tant d'années. Durant ses années lycée il avait pris en grippe une jeune femme qui était bien loin d'être la plus extravertie, par sa timidité, sa manière d'être effacée, il était facile pour lui de la tenir en joue avec ses mots, qui était bien loin d'être bienveillant, tous les surnoms y passés, que ce soit « la coincée », « despotique » et bien d'autre de la même teneur. Les raisons qui l'ont poussé à agir comme le plus gros connard de la terre restent flous durant tous le roman, lors des révélations c'est la douche froide, elles sont horribles, injustes et impardonnables à mon sens. La peinture est pour lui ce qui lui permet de garder le cap, de ne pas virer dingue, il s'exprime à travers ses peintures, elles abritent ses démons et ses plus noirs secrets.
Si seulement ils se retrouvaient simplement sur le même campus, non en plus de ça ils vont côtoyer le même espace, cet endroit où les artistes pratiquent leurs arts. Mais il faut croire que le destin avait un plan pour eux, les obliger à travailler ensemble car sa sculpture de la jeune femme tape dans l'oeil d'une galeriste mais avant de pouvoir être exposée, une mise en couleur est nécessaire. Et pour ça personne n'est plus apte que le talentueux, et accessoirement son persécuteur, Mads Man. Travailler ensemble n'est pas une décision à prendre à la léger, mais un mal nécessaire pour se frayer une place dans le monde des êtres reconnus.
Au fil des semaines les persécutions, les surnoms vont laisser place à une autre forme de lien. Malgré tout aucuns de ces jeunes gens ne sont prêt à mettre de coté leurs rancoeurs, ils vont devoir faire le point sur leurs propres démons pour espérer trouver la paix.
Je vous l'ai dit ce roman est un des meilleurs, l'auteure allie le mal et le bien. Elle nous a construit un personnage masculin qui a besoin de s'en prendre avec autant de froideur envers les femmes qui le côtoie, car oui il est un mec qui prend et jette, il utilise pour assouvir ses bas instincts. Remettre sur son chemin celle qui lui a permis de se défouler durant des semaines lui fera perdre le peu de repères qu'il avait réussi à acquérir sur le campus. Alfreda démontre avec ses mots que rien ne doit nous mettre à terre, on doit se relever, de relever la tête.
Les mots nous rendrons triste, ils révèleront les blessures, les secrets bien cachés et ils nous éblouiront une fois les nuages dissipés comme une nuit étoilée.
Ils vont passer de la peur à la passion, des pleurs aux sourires et de la haine à la passion.
Il faut avoir conscience que certaines scènes peuvent heurter la sensibilité car oui si elles sont nécessaires pour comprendre le personnage de Mads Man, elles nous laissent un goût de cendre dans la bouche et une envie de hurler la douleur.
Une romance campus, une histoire de pardon, un chemin semé d'embuches et une alliance nécessaire pour sauver deux âmes brisées par la vie.
Lien : https://leslecturesdemariaet..
Toute la scolarité de Mackenzie était une torture, elle a subi les insultes de ses camarades, l'indifférence de ses parents qui n'ont pas un métier des plus communs, mais heureusement elle pouvait compter sur sa tante et sa cousine qui ont toujours été présente pour elle. Elle a trouvé refuge dans l'art, la sculpture est ce qui lui permettait de canaliser sa colère, de se fermer dans une bulle où seul ses créations prenaient vies. Son seul souhait était de d'enfin parti loin de ce calvaire quotidien. L'université était sa porte de sortie, elle qui aller pouvoir allier sa passion et son avenir en étudiant l'art et intégrant le HangArt, là où toutes formes de talent se côtoient. Ce qu'elle ne savait pas en revanche, c'était que son pire ennemi allait faire partie du tableau. Mack a grandi, elle a évolué et ne compte pas se renfermer sur elle-même et encore moins par Mads, il n'aura pas à avoir prise sur son esprit et pour ça elle compte bien lui rendre coup pour coup.
Mads est un homme empli de rancoeur, son enfance m'a bouleversé, je ne souhaite cela à personne et même pas à mon pire ennemi. Grâce aux flash-backs de son passé, on va en apprendre plus sur ce qui nous bouleversera. Lui aussi a dû trouver un moyen de canaliser ses peurs, d'extérioriser ses craintes et le mal qui le ronge depuis tant d'années. Durant ses années lycée il avait pris en grippe une jeune femme qui était bien loin d'être la plus extravertie, par sa timidité, sa manière d'être effacée, il était facile pour lui de la tenir en joue avec ses mots, qui était bien loin d'être bienveillant, tous les surnoms y passés, que ce soit « la coincée », « despotique » et bien d'autre de la même teneur. Les raisons qui l'ont poussé à agir comme le plus gros connard de la terre restent flous durant tous le roman, lors des révélations c'est la douche froide, elles sont horribles, injustes et impardonnables à mon sens. La peinture est pour lui ce qui lui permet de garder le cap, de ne pas virer dingue, il s'exprime à travers ses peintures, elles abritent ses démons et ses plus noirs secrets.
Si seulement ils se retrouvaient simplement sur le même campus, non en plus de ça ils vont côtoyer le même espace, cet endroit où les artistes pratiquent leurs arts. Mais il faut croire que le destin avait un plan pour eux, les obliger à travailler ensemble car sa sculpture de la jeune femme tape dans l'oeil d'une galeriste mais avant de pouvoir être exposée, une mise en couleur est nécessaire. Et pour ça personne n'est plus apte que le talentueux, et accessoirement son persécuteur, Mads Man. Travailler ensemble n'est pas une décision à prendre à la léger, mais un mal nécessaire pour se frayer une place dans le monde des êtres reconnus.
Au fil des semaines les persécutions, les surnoms vont laisser place à une autre forme de lien. Malgré tout aucuns de ces jeunes gens ne sont prêt à mettre de coté leurs rancoeurs, ils vont devoir faire le point sur leurs propres démons pour espérer trouver la paix.
Je vous l'ai dit ce roman est un des meilleurs, l'auteure allie le mal et le bien. Elle nous a construit un personnage masculin qui a besoin de s'en prendre avec autant de froideur envers les femmes qui le côtoie, car oui il est un mec qui prend et jette, il utilise pour assouvir ses bas instincts. Remettre sur son chemin celle qui lui a permis de se défouler durant des semaines lui fera perdre le peu de repères qu'il avait réussi à acquérir sur le campus. Alfreda démontre avec ses mots que rien ne doit nous mettre à terre, on doit se relever, de relever la tête.
Les mots nous rendrons triste, ils révèleront les blessures, les secrets bien cachés et ils nous éblouiront une fois les nuages dissipés comme une nuit étoilée.
Ils vont passer de la peur à la passion, des pleurs aux sourires et de la haine à la passion.
Il faut avoir conscience que certaines scènes peuvent heurter la sensibilité car oui si elles sont nécessaires pour comprendre le personnage de Mads Man, elles nous laissent un goût de cendre dans la bouche et une envie de hurler la douleur.
Une romance campus, une histoire de pardon, un chemin semé d'embuches et une alliance nécessaire pour sauver deux âmes brisées par la vie.
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