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Critique de LoupAlunettes


Rhololo!

Il est revenu!



Ce n'est pas le loup cette fois-ci.

Nous vous renvoyons à l'album de Geoffroy de Pennart pour cette première nouvelle( qui en définitive n'en est plus une, tellement on l'a déja lu.

Mais rien interdit de faire semblant pour se la relire encore une fois. Quelle nouvelle?)



C'est le monstre:

C'est lui qui repointe le bout de son nez dans la maison.

Le cochon, l'oiseau et la souris de la maison sont... tous aux abris, tous aux abois?

Ils ont avec sagesse opté pour tendre le rameau d'olivier plutôt que de montrer les dents. Surtout qu'ils ont l'air aussi doux que des doudous ces trois là.



Ne reconnaissant pas d'emblée le monstre, ils tentent une reconnaissance, donne dans la tentative de communication.

Nous jouons le jeu car les lecteurs prendront la place du monstre hors champs et pourront si ils en ont envie répondre aux questions du trio, se positionner comme le nouvel ami.

Les lecteurs seront même invités à jouer en leur compagnie.


A l'annonce du titre, nous pouvions nous attendre à une éventuelle suite du monstre apparaissant dans "Plus gros que le ventre" avec Amandine Piu.

Et bien, Non!

Bluff et pied de nez!


Nous comprenons rapidement dans cet humour partagé avec les auteurs que le monstre à de fortes chances de leur ressembler.

Les amateurs de Michaël Escoffier retrouvent son humour omniprésent et son caractère facétieux.

Son association avec la fidèle Kris di Giacomo semble aussi encore fonctionner à merveille, illustratrice qui nous a abonné aux tons verts grisés, d'eau, ocres et façon matière kraft pour les fonds d'animaux en délire.



L'album devrait être bien reçu pour une rentrée.

Mais que vous avez grandi!?

Mais que vous êtes monstrueux!
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