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Critique de HealingWords
Dès le départ, nous retrouvons la plume incisive et si caractéristique de l'auteur. Aucune introduction ni fioritures, nous voici plongés de suite au coeur du sujet : la débauche d'un couple dont la femme est nymphomane et qui se retrouve parfois prise à son propre jeu. Esparbec explore cette fois-ci la soumission ; celle qu'on aime faire subir aux autres, et celle qu'on aime s'infliger, toujours parce que cela nous excite.
Écrit à la première personne, le lecteur est vraiment immergé dans le quotidien sulfureux de Gérard, qui raconte sa découverte de la sexualité auprès d'Armande, sa belle-soeur. Les deux protagonistes se livreront à des jeux interdits, parfois même à quelques centimètres seulement du frère, ivre les trois quarts du temps. Au fur et à mesure, nous nous rendons compte qu'Armande exerce une véritable fascination chez autrui. Hommes, femmes, jeunes et moins jeunes, tous sont attirés par les charmes de la belle. Les termes sont crus, les scènes détaillées, et rien n'est épargné au lecteur qui se retrouve embarqué dans un jeu sexuel malsain, dont les limites paraissent bien floues.
Comme dans tous les récits pornographiques, nous nous demandons comment se terminera le scénario. Je dois tout de même bien avouer que cette fois-ci, ce dernier m'a vraiment entraînée, m'invitant à me poser de multiples questions : est-ce que le frère finira-t-il par se rendre compte des activités auxquelles se livre sa femme avec son propre frère ? Combien de temps restera Gérard chez son frère ? Cette expérience le corrompra-t-il ? Se livrera-t-il lui aussi par la suite aux mêmes activités en tant que dominateur ou dominé ?
Cette lecture ne fut pas qu'un vulgaire enchaînement de scènes sexuelles, comme nous pouvons souvent le voir dans certains écrits ou certaines vidéos. Esparbec réussit à créer de véritables enjeux et des questionnements vis-à-vis de ses personnages, bien que le sexe, par définition, soit omniprésent dans ses textes.
Retrouvez la suite de ma chronique sur le blog.
Lien : http://healingwords.fr/la-de..
Écrit à la première personne, le lecteur est vraiment immergé dans le quotidien sulfureux de Gérard, qui raconte sa découverte de la sexualité auprès d'Armande, sa belle-soeur. Les deux protagonistes se livreront à des jeux interdits, parfois même à quelques centimètres seulement du frère, ivre les trois quarts du temps. Au fur et à mesure, nous nous rendons compte qu'Armande exerce une véritable fascination chez autrui. Hommes, femmes, jeunes et moins jeunes, tous sont attirés par les charmes de la belle. Les termes sont crus, les scènes détaillées, et rien n'est épargné au lecteur qui se retrouve embarqué dans un jeu sexuel malsain, dont les limites paraissent bien floues.
Comme dans tous les récits pornographiques, nous nous demandons comment se terminera le scénario. Je dois tout de même bien avouer que cette fois-ci, ce dernier m'a vraiment entraînée, m'invitant à me poser de multiples questions : est-ce que le frère finira-t-il par se rendre compte des activités auxquelles se livre sa femme avec son propre frère ? Combien de temps restera Gérard chez son frère ? Cette expérience le corrompra-t-il ? Se livrera-t-il lui aussi par la suite aux mêmes activités en tant que dominateur ou dominé ?
Cette lecture ne fut pas qu'un vulgaire enchaînement de scènes sexuelles, comme nous pouvons souvent le voir dans certains écrits ou certaines vidéos. Esparbec réussit à créer de véritables enjeux et des questionnements vis-à-vis de ses personnages, bien que le sexe, par définition, soit omniprésent dans ses textes.
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