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Critique de Jonaszuckerman
L'irrésistible "Amour, passion et CX diesel" était la seule BD a m'avoir fait rire, pas seulement sourire, mais rire. Je recommande vivement.
"Steak It easy" est l'intégrale de 3 tomes autobiographiques. Je me suis beaucoup reconnue en l'auteur, ce qui me l'a rendu attachant.
La difficulté à se concentrer sur une conversation, s'inscrire à l'activité théâtre par erreur (si ce n'est pas LE cauchemar ultime pour un(e) introverti(e), le fait de se retrouver en groupe, à un repas et de ne pas savoir que dire aux personnes assises à côté, le fait de trop réfléchir à ce qu'on va dire qu'il est de toute façon trop tard pour intervenir dans la conversation (de laquelle on a décroché une fois sur deux de toute façon),...
C'est rassurant de voir que quelqu'un, en quelques planches, nous fait nous sentir moins seule et anormale. Il "faut de tout pour faire un monde" comme le disait en chanson un célèbre "philosophe" des années 80.
J'ai préféré le 3è tome tourné vers la musique (Rock'n'roll suicide de Bowie, le "Mexmi" de Led Zep ("makes me Wonder"...).
Mais le tout, écrit avant "Amour, passion et CX diesel" donne déjà le ton de l'humour de l'auteur et de son autodérision.
"Steak It easy" est l'intégrale de 3 tomes autobiographiques. Je me suis beaucoup reconnue en l'auteur, ce qui me l'a rendu attachant.
La difficulté à se concentrer sur une conversation, s'inscrire à l'activité théâtre par erreur (si ce n'est pas LE cauchemar ultime pour un(e) introverti(e), le fait de se retrouver en groupe, à un repas et de ne pas savoir que dire aux personnes assises à côté, le fait de trop réfléchir à ce qu'on va dire qu'il est de toute façon trop tard pour intervenir dans la conversation (de laquelle on a décroché une fois sur deux de toute façon),...
C'est rassurant de voir que quelqu'un, en quelques planches, nous fait nous sentir moins seule et anormale. Il "faut de tout pour faire un monde" comme le disait en chanson un célèbre "philosophe" des années 80.
J'ai préféré le 3è tome tourné vers la musique (Rock'n'roll suicide de Bowie, le "Mexmi" de Led Zep ("makes me Wonder"...).
Mais le tout, écrit avant "Amour, passion et CX diesel" donne déjà le ton de l'humour de l'auteur et de son autodérision.
