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Critique de BABYBOOK


Tout d'abord je signale que la couverture qui apparaît est la photo de l'auteur, ce qui donne déjà une idée de son humour.(Je n'ai pas voulu changer la couverture,je voulais seulement ajouter une image en fin de critique,
Merci à Babélio pour ce livre de la masse critique et aux éditions IL ETAIT UN BOUQUIN
Un régal, c’est un roman policier humoristique, qui paraît léger, léger mais qui traite d’un sujet grave, ancien, et malheureusement, toujours d’actualité.
Le détective Daniel Hummer, pour les intimes:Schlomo est amené à aider la police des une enquête de vol. Son aide est précieuse car il vit à New-York, dans un quartier juif et est juif.
C'est donc flanqué de l'inspecteur Donovan, raciste, qu'il se rend dans la synagogue de son quartier à propos d'un vol. Le gardien a été assommé mais, rien n'a été volé, étrange, n'est-il pas? Au moment précis où ils constatent les faits en présence du Rabbin .Un jeune étudiant surgit, montrant quelque chose avec les doigts. Personne ne comprend son intrusion et il est jeté dehors.
Quelques jours plus tard, il est assassiné. Daniel Hummer se rend chez ses parents, fouille sa chambre et trouve un petit carnet rouge, il le dérobe mais n’en parle pas à Donovan. La maman du jeune homme lui demande en yddish de trouver l’assassin, il promet.
L’enquête le mène au METROPOLITAN MUSEUM, où là aussi, une tentative d’effraction a été commise, rien n’a été volé, aucune plainte n’a été déposée. Il s’y rend et est reçu par une très jolie blonde qui ne le laisse pas du tout indifférent.
Suite à cette visite, le Chef de la police l’invite dans un grand restaurant pour finalement lui dire qu’il lui retire l’enquête.
Il est très déçu de ne plus avoir de contrat, puis, soudain, il se souvient de la demande de la maman du jeune homme décédé : c’est SON contrat, il continuera SON enquête.
Il n’a plus la moindre piste et ne comprend toujours pas ce que le jeune homme juif voulait dire en montrant du doigt le plafond de la synagogue. Il revoit son geste, et comprend enfin : il ne montrait rien, il représentait le YAD, cette petite main en métal parfois garnie d’une pomme de senteur où l’on peut introduire de l’ambre ou un autre parfum, qui est utilisée pour lire la Torah.
Son intuition le pousse à rendre visite à Schultz, un ancien gangster à la retraite pour lui montrer le petit carnet rouge qui contient des noms de personnes importantes.
Les deux compères vont voir le Rabbi qui leur avoue que la main du Yad à bien été volée mais qu’il a été forcé, par deux malfrats, de dire que rien ne manquait. Tout ce qu’ils parviennent à lui soutirer c’est qu’ils étaient deux, dont un se nomme Mulligan. Schultz et Hummer décident de le rencontrer à son QG, le Back Room. Grâce à lui, ils apprennent que le chef de l’inspecteur Donovan est trempé dans l’affaire, il empêche les enquêtes d’aboutir. Il est découvert dans un hôtel miteux et dans une situation pas très avantageuse en compagnie de la jolie blonde du musée, Mademoiselle ABENSTERN . Comment est-ce possible ? Pourquoi ? Quel est leur rôle dans cette affaire ? Qui sont réellement les voleurs du yad ?Vous le saurez en lisant LE PARFUM DU YAD que je vous conseille vivement, très vivement même !
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