La vallée de l'Ubayette est terre de pâturage. C'est aussi un haut lieu de biodiversité.
C'est au sommet d'un versant où les mélèzes s'éclaircissent, se rabougrissent, avec au sol quelques genévriers, que l'envol fracassant d'un coq de bruyère vous surprendra.
Vu de Larche, le contraste qui oppose les deux rives de l'Ubayette est frappant.
A Fouillouse, une moitié de cadran solaire laisse apparaître "Mortel, sais-tu à quoi je sers? A marquer les heures que tu perds".
Pays de lumière, pays ensoleillé, on rencontre bien évidemment en Ubaye de nombreux cadrans solaires.
Neuf couleurs se succèdent selon la luminosité et les saisons dans un des lacs naturels les plus hauts d'Europe.
Chaque cimetière en Ubaye exhibe ses constructions de prestige, symboles de l'apparat "mexicain".
Les ouvrages destinés à défendre la frontière avec l'Italie ont été construits à partir de 1930.
La vallée de l'Ubaye a été pendant longtemps disputée entre la France et la Savoie.
Les troupeaux de mouflons qui arpentent l'adret de Barcelonnette témoignent de la réussite de l'introduction de cette espèce, naturellement absente de l'Ubaye.