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Critique de emiii
a question doit-elle vraiment se poser? J'ai, évidemment, adoré ce troisième opus de la saga! Les personnages sont comme toujours très attachants et j'adorerai connaître la suite de leurs aventures!
Alexandria est une femme que je rêverai d'être. Tout d'abord c'est une dessinatrice ce qui, pour moi qui adore le graphisme, résonne positivement. de plus c'est une femme réellement indépendante qui ne peut compter que sur elle-même et sur l'amour de son frère. le fait d'avoir le personnage du petit frère est un très agréable changement car dans les deux premiers volets les héroïnes étaient des femmes indépendantes, certes, mais qui n'avaient aucunes attaches familiales ou sentimentales (pas de famille, pas d'amis = rien) et franchement je m'imagine mal n'avoir ni amis ni famille! Ici Alexandria a déjà une raison pour laquelle se battre et c'est plus facile de la comprendre, de s'identifier à elle.
Aidan reste, parmi Makhail et Jacques (héros des précédents tomes), le Carpatien qui se soucie le plus des sentiments et de la vie de son alter ego. En effet il cherche à la convaincre, à la séduire et ne se base pas uniquement sur le contact charnel, le désir de leurs deux corps. D'ailleurs ce livre contient moins de scène d'amour physique (=sexuel) que les précédents même si celles-ci restent tout de mêmes très expressives et je les conseille uniquement pour un public averti!
Petit bémol tout de même, les paysages des Carpates me manquent et j'avoue que Los Angeles me fait quand même moins rêvé que l'Europe profonde et ses paysages sauvages!
Lien : http://la-page-qui-se-tourne..
Alexandria est une femme que je rêverai d'être. Tout d'abord c'est une dessinatrice ce qui, pour moi qui adore le graphisme, résonne positivement. de plus c'est une femme réellement indépendante qui ne peut compter que sur elle-même et sur l'amour de son frère. le fait d'avoir le personnage du petit frère est un très agréable changement car dans les deux premiers volets les héroïnes étaient des femmes indépendantes, certes, mais qui n'avaient aucunes attaches familiales ou sentimentales (pas de famille, pas d'amis = rien) et franchement je m'imagine mal n'avoir ni amis ni famille! Ici Alexandria a déjà une raison pour laquelle se battre et c'est plus facile de la comprendre, de s'identifier à elle.
Aidan reste, parmi Makhail et Jacques (héros des précédents tomes), le Carpatien qui se soucie le plus des sentiments et de la vie de son alter ego. En effet il cherche à la convaincre, à la séduire et ne se base pas uniquement sur le contact charnel, le désir de leurs deux corps. D'ailleurs ce livre contient moins de scène d'amour physique (=sexuel) que les précédents même si celles-ci restent tout de mêmes très expressives et je les conseille uniquement pour un public averti!
Petit bémol tout de même, les paysages des Carpates me manquent et j'avoue que Los Angeles me fait quand même moins rêvé que l'Europe profonde et ses paysages sauvages!
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