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Critique de Elamia
Une fresque qui gagne en qualité.
Ce second tome est placé sous le signe de grands changements. 4 ans après la séparation de Pug et Tomas, je me faisais une joie de les retrouver. Mais j'ai adoré suivre toute la myriade de compagnons qui les entourent. Car les personnages secondaires et les nouveaux prennent une grande ampleur dans cette suite. Tous forment une grande famille avec des personnalités si différentes mais attachantes en tout point de vue.
La guerre oppose toujours l'empire de Kelewan au royaume de Midkemia. Depuis l'ouverture de la faille, les Tsurani livrent bataille pour récupérer les denrées midkemianes. La guerre amène son lot de tragédies mais au milieu de tout ça, nos personnages favoris tirent leur épingle du jeu.
L'écriture efficace de Feist et son scénario digne du cinéma, m'ont encore une fois happée. Mais c'est sa vision de la magie que je trouve vraiment réussie : pas de spectaculaire, pas de complexité. La magie arrive à point nommée et de manière efficace.
Ce récit dense riche en action et rebondissements se lit avec une fluidité étonnante et malgré le nombre de pages (presque 600), la fin arrive très vite. J'apprécie toujours les influences Tolkienesques disséminées ça et là, avec Elvendar le royaume des Elfes, la présence des Nains et la mythologie des Valheru qui me rappelle les redoutables Nazguls.
Me voila définitivement réconciliée avec l'auteur !
Ce second tome est placé sous le signe de grands changements. 4 ans après la séparation de Pug et Tomas, je me faisais une joie de les retrouver. Mais j'ai adoré suivre toute la myriade de compagnons qui les entourent. Car les personnages secondaires et les nouveaux prennent une grande ampleur dans cette suite. Tous forment une grande famille avec des personnalités si différentes mais attachantes en tout point de vue.
La guerre oppose toujours l'empire de Kelewan au royaume de Midkemia. Depuis l'ouverture de la faille, les Tsurani livrent bataille pour récupérer les denrées midkemianes. La guerre amène son lot de tragédies mais au milieu de tout ça, nos personnages favoris tirent leur épingle du jeu.
L'écriture efficace de Feist et son scénario digne du cinéma, m'ont encore une fois happée. Mais c'est sa vision de la magie que je trouve vraiment réussie : pas de spectaculaire, pas de complexité. La magie arrive à point nommée et de manière efficace.
Ce récit dense riche en action et rebondissements se lit avec une fluidité étonnante et malgré le nombre de pages (presque 600), la fin arrive très vite. J'apprécie toujours les influences Tolkienesques disséminées ça et là, avec Elvendar le royaume des Elfes, la présence des Nains et la mythologie des Valheru qui me rappelle les redoutables Nazguls.
Me voila définitivement réconciliée avec l'auteur !
