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Critique de Latulu
J'avais beaucoup apprécié le premier tome des aventures de la Dame des Acoma. Avec ce deuxième opus, les auteurs explorent un peu plus l'univers de Kelawan : le royaume des Tsurani.
Dans ce second roman, Mara poursuit son ascension dans la hiérarchie du royaume. Alors qu'elle est prête à se laisser tenter par un mariage avec le fils d'un autre seigneur, elle achète sur un coup de tête un esclave midkemian, Kevin de Zhûn. Séduite par son comportement et le regard très critique qu'il porte sur les traditions Tsurani, elle va peu à peu remettre en cause ses propres croyances jusqu'à initier de nouvelles batailles au sein du Jeu du Conseil.
Plus tourné vers la romance que le précédent tome, ce récit est tout de même très rythmé au niveau des intrigues et complots qui régissent la vie de tout seigneur Tsurani. le pouvoir des magiciens et leur conclave est plus détaillé et mieux représenté. L'univers de Kelawan s'étoffe donc.
Le nouveau protagoniste Kevin est finement introduit dans l'histoire. Dans la mesure où il représente l'équivalent de notre monde occidental, ses remarques sur le fameux Honneur Tsurani ou sur leur croyance d'une nécessaire vie misérable pour atteindre un meilleur statut dans la suivante amènent une touche d'humour. Kévin, tout comme nous, est souvent frappé devant la rigidité et l'esbrouffe du Jeu du Conseil. Lorsque Mara prend le temps de lui expliquer les règles et les raisons pour lesquelles elle se comporte de cette façon selon les situations, Kevin, en sa qualité d'occidental, pose les questions ou les conclusions qui le rendent proche de nous et permet au lecteur de mieux comprendre les Tsurani.
L'action est plus présente dans ce tome. La scène de bataille entre magiciens est particulièrement réussie. Pour autant les intrigues et complots foisonnent toujours autant. J'avais bien apprécié ces éléments dans Fille de l'Empire et j'ai aimé les retrouver dans ce récit.
Une belle lecture que je recommande autant que pour le premier tome.
Dans ce second roman, Mara poursuit son ascension dans la hiérarchie du royaume. Alors qu'elle est prête à se laisser tenter par un mariage avec le fils d'un autre seigneur, elle achète sur un coup de tête un esclave midkemian, Kevin de Zhûn. Séduite par son comportement et le regard très critique qu'il porte sur les traditions Tsurani, elle va peu à peu remettre en cause ses propres croyances jusqu'à initier de nouvelles batailles au sein du Jeu du Conseil.
Plus tourné vers la romance que le précédent tome, ce récit est tout de même très rythmé au niveau des intrigues et complots qui régissent la vie de tout seigneur Tsurani. le pouvoir des magiciens et leur conclave est plus détaillé et mieux représenté. L'univers de Kelawan s'étoffe donc.
Le nouveau protagoniste Kevin est finement introduit dans l'histoire. Dans la mesure où il représente l'équivalent de notre monde occidental, ses remarques sur le fameux Honneur Tsurani ou sur leur croyance d'une nécessaire vie misérable pour atteindre un meilleur statut dans la suivante amènent une touche d'humour. Kévin, tout comme nous, est souvent frappé devant la rigidité et l'esbrouffe du Jeu du Conseil. Lorsque Mara prend le temps de lui expliquer les règles et les raisons pour lesquelles elle se comporte de cette façon selon les situations, Kevin, en sa qualité d'occidental, pose les questions ou les conclusions qui le rendent proche de nous et permet au lecteur de mieux comprendre les Tsurani.
L'action est plus présente dans ce tome. La scène de bataille entre magiciens est particulièrement réussie. Pour autant les intrigues et complots foisonnent toujours autant. J'avais bien apprécié ces éléments dans Fille de l'Empire et j'ai aimé les retrouver dans ce récit.
Une belle lecture que je recommande autant que pour le premier tome.
