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Critique de Kalgan


Après une mise en place réussi de l'univers de Midkemia en proie à la guerre de la Faille dans le premier livre, Feist continue sur sa lancée pour nous offrir ce deuxième tome de la saga.

Toujours avec le même style, aussi bien écrit et la même inventivité que dans le premier tome, on découvre la suite des aventures de Pug et Thomas au milieu de la guerre.

Les deux jeunes enfants ont bien grandi depuis le début du récit et au fur et à mesure de l'histoire on découvre le rôle primordial qu'ils ont a joué dans cette guerre.

Pug devient Milamber le Mage, un Très-Puissant, au sommet de l'échelle hiérarchique du monde de Kelewan, et ses pouvoirs deviennent immenses.

Thomas, grâce à son armure enchantée, devient le chef des troupes elfes, et par la même occasion amant de la reine des elfes Aglaranna, dont il était éperdument amoureux.

On découvre avec plaisir le fonctionnement du monde de Kelewan avec ses airs orientaux par rapport à celui de Midkemia, qui permet au lecteur de "changer d'airs".
Le livre développe également d'autres personnages nouveaux ou qui étaient moins présents dans le premier tome, comme Arutha, qui doit faire face à l'envahisseur et déjouer les complots qui se trament au sein même du royaume.

Toujours dans le même style que le précédent livre, Feist ne déçoit pas et garde la bonne dynamique qu'il avait instauré dans le premier livre.

Livre toujours aussi excellent que le premier, qui a su renouveler ses personnages et les enjeux du récit.

Livre qui fait partie, aux cotés du précédent, des meilleurs livres de Fantasy, et qui ne donne qu'envie de lire la suite.
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