Aux écritures méditerranéennes, C, Fellous nous a parlé de cette « mémoire aimantée » dont elle fait dans ce roman l'apologie, avec force détails. Mais, encore un mais, malgré les astuces intéressantes dans l'utilisation, des tableaux, photos, et autres accessoires qui lui servent d'aimant, je n'ai pas trouvé ce livre convaincant. Des détails énormément de détails qui se perdent dans la nuit des temps et qui demeurent significatifs que pour le narrateur c'est-à-dire l'auteur. J'avais l'impression en lisant ces lignes de me retrouver face à une personne volubile que l'on arrive pas à arrêter tant le dernier mot dit est le premier sur la ligne suivante. On accroche, on s'accroche, on s'endort ou on ferme le livre. Dommage pour moi, peut être, auriez vous plus de chance… dites le moi...
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