Je viens de tourner la dernière page de ce conte magnifique. D'une légèreté profonde, d'une douceur puissante, il atteint les sommets du roman poétique comme la funambule qu'il évoque, dans le droit fil d'une esthétique sans faille du maniement des mots et des images.
À lire et relire pour le plaisir de contempler toutes les facettes d'une pierre précieuse : un diamant aussi blanc et transparent que
neige ?
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